D'origine panaméenne, il débute sa carrière en tant que MC dans le milieu du Hip Hop. Il sort un premier album étiqueté electro mais étale déjà ses influences avec une reprise de Change Is Gonna Come.
Produit et enregistré par le label de Brooklyn Truth & Soul, le résultat ne pouvait qu'empester la soul. Le titre phare de l'album I Need a Dollar qui inaugure l'album, nous rappelle, dés les premières notes, les racines Hip Hop d'Aloe Blacc avant que la basse et les cuivres ne rendent le tout bien funky. Certains morceaux plus soul ( Take me Back et If I ), sont servis par une voie profonde et propre avec juste ce qu'il faut de choeur pour soutenir l'ensemble. Alors que d'autres ( Hey Brother ) affichent une funk saccadée et bien groovy. On passe même par une sorte de mix soul/ reggae avec Miss Fortune. L'album est vraiment varié et l'on pourra même trouver une petite influence des Beatles sur les cuivres de la fin de Politician et une reprise intéressante de Femme Fatale du Velvet Underground.
L'ensemble revêt une texture assez chaude et moderne avec un son différent des autres productions du label de Brooklyn. Le son est un peu plus rond et moins brut mais la qualité d'orchestration des New Yorkais est toujours là.
En nommant son deuxième album Good Things , Aloe Blacc ne nous a pas trompé sur la marchandise.
Produit et enregistré par le label de Brooklyn Truth & Soul, le résultat ne pouvait qu'empester la soul. Le titre phare de l'album I Need a Dollar qui inaugure l'album, nous rappelle, dés les premières notes, les racines Hip Hop d'Aloe Blacc avant que la basse et les cuivres ne rendent le tout bien funky. Certains morceaux plus soul ( Take me Back et If I ), sont servis par une voie profonde et propre avec juste ce qu'il faut de choeur pour soutenir l'ensemble. Alors que d'autres ( Hey Brother ) affichent une funk saccadée et bien groovy. On passe même par une sorte de mix soul/ reggae avec Miss Fortune. L'album est vraiment varié et l'on pourra même trouver une petite influence des Beatles sur les cuivres de la fin de Politician et une reprise intéressante de Femme Fatale du Velvet Underground.
L'ensemble revêt une texture assez chaude et moderne avec un son différent des autres productions du label de Brooklyn. Le son est un peu plus rond et moins brut mais la qualité d'orchestration des New Yorkais est toujours là.
En nommant son deuxième album Good Things , Aloe Blacc ne nous a pas trompé sur la marchandise.