DE QUOI S’AGIT IL ?
Groupe formé en 2001 par Torbitt et Wilder Schwartz – rejoints peu après par Jeremy Wilms- Chin Chin était initialement destiné à épauler les chanteurs et MCs d’une fête organisée tous les mois à Brooklyn. Prenant la mesure du vrai potentiel du groupe, les deux frères Schwartz décidèrent de composer des nouveaux morceaux. Une fois les titres en place, ils commencèrent à recruter des musiciens issus de la fertile scène musicale de Williamsburg.
Combinant éléments de jazz, funk, disco, R&B, rock, electro avec des textes malins, arrangements de cuivre puissants, une grande prestance scénique et un goût certain de la fête, Chin Chin a synthétisé la quintessence des héros du dancefloor que sont Brass Construction, Ohio Players, et Roger Troutman, tout en offrant indéniablement quelque chose de neuf, à la manière de Plantlife ou Hot Chip.
En concert Chin Chin se produit aussi bien en format quartet classique qu’en grand ensemble armé de cuivres explosifs. Typiquement, une prestation de Chin Chin donne rapidement naissance à une furieuse envie de danser, le public répondant immédiatement à leur charisme incendiaire. Time OUT NY a bien résumé le phénomène en décrivant à quel point la mise en place du groupe était carrée et efficace. Sans surprise le magazine FADER les a qualifié de group à surveiller dans son numéro d’Août 2004.
A New York comme en Europe ils ont déjà partagé la scène avec TV On The Radio, Antibalas afro beat ensemble, Sufjan Stevens, Lily Allen, ESG, Sharon Jones and The Dap Kings, Theo Parrish, DJ Spinna, Doctor Dog, the Rogers Sisters, et VHS or Beta.
ALORS CET ALBUM SUR DIALECT ?
De l’ouverture en fanfare de Miami à la douce conclusion de Step by Step, Chin Chin prouve de façon éclatante à quel point ils sont doués pour susciter notre intérêt et faire monter en flèche l’excitation dans la pièce en mélangeant grooves puissants, mélodies entêtantes et textes ciselés sur les brûlots Miami, Toot d’Amore, Hey Hey et Appetite. Ils démontrent aussi leur science des arrangements et des atmosphères sophistiquées sur des compositions plus délicates telles que Ohio, Le Petit Mort, Step by Step
Destiné à devenir un classique, CHIN CHIN fait clairement partie de ces albums que vous ne vous lasserez pas d’écouter du début à la fin dans les années à venir.
Source : Communiqué de presse mais on est d'accord avec ce qui est écrit ;o))
Groupe formé en 2001 par Torbitt et Wilder Schwartz – rejoints peu après par Jeremy Wilms- Chin Chin était initialement destiné à épauler les chanteurs et MCs d’une fête organisée tous les mois à Brooklyn. Prenant la mesure du vrai potentiel du groupe, les deux frères Schwartz décidèrent de composer des nouveaux morceaux. Une fois les titres en place, ils commencèrent à recruter des musiciens issus de la fertile scène musicale de Williamsburg.
Combinant éléments de jazz, funk, disco, R&B, rock, electro avec des textes malins, arrangements de cuivre puissants, une grande prestance scénique et un goût certain de la fête, Chin Chin a synthétisé la quintessence des héros du dancefloor que sont Brass Construction, Ohio Players, et Roger Troutman, tout en offrant indéniablement quelque chose de neuf, à la manière de Plantlife ou Hot Chip.
En concert Chin Chin se produit aussi bien en format quartet classique qu’en grand ensemble armé de cuivres explosifs. Typiquement, une prestation de Chin Chin donne rapidement naissance à une furieuse envie de danser, le public répondant immédiatement à leur charisme incendiaire. Time OUT NY a bien résumé le phénomène en décrivant à quel point la mise en place du groupe était carrée et efficace. Sans surprise le magazine FADER les a qualifié de group à surveiller dans son numéro d’Août 2004.
A New York comme en Europe ils ont déjà partagé la scène avec TV On The Radio, Antibalas afro beat ensemble, Sufjan Stevens, Lily Allen, ESG, Sharon Jones and The Dap Kings, Theo Parrish, DJ Spinna, Doctor Dog, the Rogers Sisters, et VHS or Beta.
ALORS CET ALBUM SUR DIALECT ?
De l’ouverture en fanfare de Miami à la douce conclusion de Step by Step, Chin Chin prouve de façon éclatante à quel point ils sont doués pour susciter notre intérêt et faire monter en flèche l’excitation dans la pièce en mélangeant grooves puissants, mélodies entêtantes et textes ciselés sur les brûlots Miami, Toot d’Amore, Hey Hey et Appetite. Ils démontrent aussi leur science des arrangements et des atmosphères sophistiquées sur des compositions plus délicates telles que Ohio, Le Petit Mort, Step by Step
Destiné à devenir un classique, CHIN CHIN fait clairement partie de ces albums que vous ne vous lasserez pas d’écouter du début à la fin dans les années à venir.
Source : Communiqué de presse mais on est d'accord avec ce qui est écrit ;o))
En savoir plus :
LIENS
www.myspace.com/chinchinnyc
www.myspace.com/dialectrecordings
www.dialectrecordings.com
CONCERTS
Chin Chin en concert >>> voir leurs dates
30 mars 2007 Les Nuits Zébrées, Radio Nova (101.5)
07 avril 2007 New Morning, Blue Note Festival
www.myspace.com/chinchinnyc
www.myspace.com/dialectrecordings
www.dialectrecordings.com
CONCERTS
Chin Chin en concert >>> voir leurs dates
30 mars 2007 Les Nuits Zébrées, Radio Nova (101.5)
07 avril 2007 New Morning, Blue Note Festival