Comme dans ce jeu débile de fête foraine américaine où il faut écraser la taupe à coups de maillet lorsqu’elle sort de son trou, Clinton se plait à surgir là où on ne l’attend pas. A annoncer des sorties d’albums qui ne verront jamais le jour. A débouler dans les bacs avec un double pavé qui recycle tout et n’importe quoi.
Avec ses Gangsters Of Love, il ne fait pas exception et risque de devenir dans le genre déconcertant une référence absolue.
D’extérieur, c’est l’éclectisme du GC Circus dans toute sa splendeur : Santana, Rza, Debarge, Sly Stone, un tracklisting avec des reprises de Barry White, Curtis Mayflield ou Prince. Et puis rien. Des morceaux sans âme pollués par les nouveaux tics de productions arenneubi, des cuivres joués aux claviers, des guitares qui sonnent mal.
Encore un pétard mouillé ou encore un ovni ? Clinton le roi de la déception ou le champion du contre-pied ? Avec les années et les neurones qu’il a cramé pour la cause funk, on peut lui laisser la liberté de se faire plaisir à jouer les crooners cabossés de partout, mais même ses plus zélés défenseurs ne trouveront qu’un angle de tir bien restreint pour cautionner ce truc sans dinguerie.
Sans doute le genre de disque qu’on rangera dans la saga P. pour le ressortir un jour entre amis et dire « ah oui tiens tu savais que Clinton avait fait ça ?! », car plus le temps passe et plus l’image d’un vrai album de P. Funk devient floue.
« Muzul tu radotes ! » Je sais ouais…
Avec ses Gangsters Of Love, il ne fait pas exception et risque de devenir dans le genre déconcertant une référence absolue.
D’extérieur, c’est l’éclectisme du GC Circus dans toute sa splendeur : Santana, Rza, Debarge, Sly Stone, un tracklisting avec des reprises de Barry White, Curtis Mayflield ou Prince. Et puis rien. Des morceaux sans âme pollués par les nouveaux tics de productions arenneubi, des cuivres joués aux claviers, des guitares qui sonnent mal.
Encore un pétard mouillé ou encore un ovni ? Clinton le roi de la déception ou le champion du contre-pied ? Avec les années et les neurones qu’il a cramé pour la cause funk, on peut lui laisser la liberté de se faire plaisir à jouer les crooners cabossés de partout, mais même ses plus zélés défenseurs ne trouveront qu’un angle de tir bien restreint pour cautionner ce truc sans dinguerie.
Sans doute le genre de disque qu’on rangera dans la saga P. pour le ressortir un jour entre amis et dire « ah oui tiens tu savais que Clinton avait fait ça ?! », car plus le temps passe et plus l’image d’un vrai album de P. Funk devient floue.
« Muzul tu radotes ! » Je sais ouais…