Pour la Saint-Valentin, pensez au cuivre !
Pas bête comme idée, surtout quand il s’agit d’un band en provenance de Louisiane, matérialisation d’un cauchemar de tourneur : l’équivalent en tuyauterie d’un immeuble de 5 étages, 8 gaillards façon pack de foot américain à nourrir, loger et transporter. Autant opter pour la bétaillère histoire de benner hommes et instruments directement dans les loges.
Hot 8 Brass Band débarquait donc à Paris avec leur album Rock With The Hot 8 sous le bras. Et avec une certitude : leur musique est faite pour la scène, pour souffler les premiers rangs et rendre aveugle et sourd le reste de la salle. L’avantage d’une fanfare, c’est d’être festif. 5 minutes de présence et tout le monde frappe dans ses mains. Après un quart d’heure tout le monde chante, passée la demi-heure tout le monde danse. La suite logique c’est 1/ Le groupe descend finir le taf au milieu de la fosse, 2/ on prolonge les festivités dans la rue laissant seuls dans la salle avec leur bonheur écoeurant tous ces amoureux venus fêter le 14 février.
Mais les choses ne se passent pas toujours comme on les rêve et malgré les promesses sur l’honneur de ce Togolais roi des nuits Parisiennes, chacun est resté sagement fiché à sa place pour 1 h 30 de funk chaud-bouillant à peine refroidi par les litres de sueur versés. Faut dire que quand on est une horde de cuivres avec 2 marteleurs aux percussions, la règle de base est de définir une place bien précise à chacun : les extra-balèzes derrière, les un-peu-moins-mais-quand-même devant sur les côtés, les autres au milieu. Et surtout d’éviter de multiplier les courses et les sauts sinon c’est l’application immédiate du supplément d’assurance « risque d’effondrement de scène » (jurisprudence Boo-Ya Tribe). En même temps, on n’a jamais vu des cuivres se comporter comme des guitar-heroes. Ou alors c’est que le carburant était de qualité prémium. A bien y réfléchir, c’est peut-être ce qui permettait au trombone de droite de jouer tout en révisant ses katas de karaté …
Après cette réplique live de leur album, le Hot 8 continuait sa tournée en France. Et les KFC se frottaient déjà les mains…
Pas bête comme idée, surtout quand il s’agit d’un band en provenance de Louisiane, matérialisation d’un cauchemar de tourneur : l’équivalent en tuyauterie d’un immeuble de 5 étages, 8 gaillards façon pack de foot américain à nourrir, loger et transporter. Autant opter pour la bétaillère histoire de benner hommes et instruments directement dans les loges.
Hot 8 Brass Band débarquait donc à Paris avec leur album Rock With The Hot 8 sous le bras. Et avec une certitude : leur musique est faite pour la scène, pour souffler les premiers rangs et rendre aveugle et sourd le reste de la salle. L’avantage d’une fanfare, c’est d’être festif. 5 minutes de présence et tout le monde frappe dans ses mains. Après un quart d’heure tout le monde chante, passée la demi-heure tout le monde danse. La suite logique c’est 1/ Le groupe descend finir le taf au milieu de la fosse, 2/ on prolonge les festivités dans la rue laissant seuls dans la salle avec leur bonheur écoeurant tous ces amoureux venus fêter le 14 février.
Mais les choses ne se passent pas toujours comme on les rêve et malgré les promesses sur l’honneur de ce Togolais roi des nuits Parisiennes, chacun est resté sagement fiché à sa place pour 1 h 30 de funk chaud-bouillant à peine refroidi par les litres de sueur versés. Faut dire que quand on est une horde de cuivres avec 2 marteleurs aux percussions, la règle de base est de définir une place bien précise à chacun : les extra-balèzes derrière, les un-peu-moins-mais-quand-même devant sur les côtés, les autres au milieu. Et surtout d’éviter de multiplier les courses et les sauts sinon c’est l’application immédiate du supplément d’assurance « risque d’effondrement de scène » (jurisprudence Boo-Ya Tribe). En même temps, on n’a jamais vu des cuivres se comporter comme des guitar-heroes. Ou alors c’est que le carburant était de qualité prémium. A bien y réfléchir, c’est peut-être ce qui permettait au trombone de droite de jouer tout en révisant ses katas de karaté …
Après cette réplique live de leur album, le Hot 8 continuait sa tournée en France. Et les KFC se frottaient déjà les mains…
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www.hot8brassband.com
www.myspace.com/hot8brassband
www.tru-thoughts.co.uk/artists/hot-8-brass-band
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