Tu es né à Valence. Combien d’années y as-tu vécu?
J’ai vécu à valence jusqu’à mes 17 ans. J’ai atterri à Paris après une audition pour une école de musique. Venir vivre ici, c’était de toute façon ce que je souhaitais. Un rêve de gosse…
Peux-tu me parler de ton parcours ?
A 16 ans, j’ai arrêté l’école. J’avais déjà ce penchant pour la musique. Mes parents m’ont mise à l’école de musique dès l’âge de six ans. J’ai d’abord fait du piano, puis de la batterie à l’âge de douze ans. Ensuite, je suis donc monté à Paris, pour faire une école plus poussée. J’ai approfondi le solfège, et je faisais aussi un peu de théâtre, du chant et de la danse. Par le biais de cette école, j’ai rencontré des arrangeurs et des compositeurs. Et c’est en regardant tous ces gens travailler sur ordinateur que j’ai pu apprendre les rudiments de la production. En 1996, j’ai rencontré Luc Parera, avec lequel j’ai fait un duo d’électro. On a commencé ensemble à faire des musiques de courts-métrages. Nous avons ensuite sorti un premier album sous le nom d’Ego, sur le label Pop Flavor. En 2001, j’ai eu la possibilité de créer mon propre label, Equal Musik, et j’ai sorti le premier album d’Ego qui s’appel « Panoplie ». La suite, c’est un premier album solo, Keep The Face en 2007 et un second, Feeling, aujourd’hui.
Cela n’a pas du être simple de monter ce label…
Oui. Surtout que je l’ai monté au moment même où l’industrie du disque commençait vraiment à se casser la gueule. Je ne l’ai sans doute pas fait au bon moment. L’autre grosse difficulté que j’ai rencontré, c’est que lorsque j’ai voulu créer ce label, je le voulais uniquement électro. En France, l’électro, ce n’est pas ce qu’il y a de plus facile.
J’ai vécu à valence jusqu’à mes 17 ans. J’ai atterri à Paris après une audition pour une école de musique. Venir vivre ici, c’était de toute façon ce que je souhaitais. Un rêve de gosse…
Peux-tu me parler de ton parcours ?
A 16 ans, j’ai arrêté l’école. J’avais déjà ce penchant pour la musique. Mes parents m’ont mise à l’école de musique dès l’âge de six ans. J’ai d’abord fait du piano, puis de la batterie à l’âge de douze ans. Ensuite, je suis donc monté à Paris, pour faire une école plus poussée. J’ai approfondi le solfège, et je faisais aussi un peu de théâtre, du chant et de la danse. Par le biais de cette école, j’ai rencontré des arrangeurs et des compositeurs. Et c’est en regardant tous ces gens travailler sur ordinateur que j’ai pu apprendre les rudiments de la production. En 1996, j’ai rencontré Luc Parera, avec lequel j’ai fait un duo d’électro. On a commencé ensemble à faire des musiques de courts-métrages. Nous avons ensuite sorti un premier album sous le nom d’Ego, sur le label Pop Flavor. En 2001, j’ai eu la possibilité de créer mon propre label, Equal Musik, et j’ai sorti le premier album d’Ego qui s’appel « Panoplie ». La suite, c’est un premier album solo, Keep The Face en 2007 et un second, Feeling, aujourd’hui.
Cela n’a pas du être simple de monter ce label…
Oui. Surtout que je l’ai monté au moment même où l’industrie du disque commençait vraiment à se casser la gueule. Je ne l’ai sans doute pas fait au bon moment. L’autre grosse difficulté que j’ai rencontré, c’est que lorsque j’ai voulu créer ce label, je le voulais uniquement électro. En France, l’électro, ce n’est pas ce qu’il y a de plus facile.
Combien d’instruments maîtrises-tu aujourd’hui ?
Basse, piano, batterie, guitare et voix. Il y a aussi tout ce qui est du registre de la programmation et des arrangements. J’enregistre d’ailleurs tout chez moi. Il suffit de bien connaître son matos et on peut faire des miracles, même avec du home studio. Hormis le mastering, tout est fait ici.
Tout genre confondus, quel est ton artiste préféré ?
J’adore Marvin Gaye. J’ai beaucoup étudié ce qu’il a fait au niveau des voix. C’est tout simplement phénoménal. Il y a aussi Donny Hathaway et Stevie Wonder. Mais en priorité, je suis une fane inconditionnelle de Marvin Gaye et en particulier de son album What’s Going On.
Et l’électro, cela te touche encore ?
Je n’en écoute plus du tout. Je crois que j’ai tout simplement le sentiment d’en avoir fait le tour. A la limite, le seul genre d’électro qui me touche encore, c’est Bjork ou Massive Attack. Donc c’est très réduit. Je trouve que ce qui se fait aujourd’hui, du moins le peu de ce qui me parvient, est très froid. Ca n’a pas de chaleur ni de personnalité.
Pourquoi cette direction soul/funk ?
Je suis parti dans un style soul/funk un peu par hasard. Je ne savais pas vraiment où je voulais aller. Lorsque je faisais de l’électro je samplais beaucoup de voix soul. Il fallait fouiller et rechercher. Et je me suis finalement aperçu que je préférais naturellement ces musiques black à l’électro.
On a tendance à t’inscrire dans un mouvement revival soul/funk. Comment le reçois-tu ?
A vrai dire cela m’étonne. Mais c’est super flatteur. J’ai lu des articles sur Keep The Face où justement on ne tarissait pas déloge. On disait que cela sonnait à l’ancienne, avec un style très américain. A un moment, on me comparait même à Prince dans l’instrumentation. J’étais super étonnée. Et je me sens très loin de tout ça. Je fais les choses dans ma petite cave chez moi, sans me poser de question. Et le fait de recevoir ce genre de réponse, je le reçois forcément comme du pur bonheur.
Basse, piano, batterie, guitare et voix. Il y a aussi tout ce qui est du registre de la programmation et des arrangements. J’enregistre d’ailleurs tout chez moi. Il suffit de bien connaître son matos et on peut faire des miracles, même avec du home studio. Hormis le mastering, tout est fait ici.
Tout genre confondus, quel est ton artiste préféré ?
J’adore Marvin Gaye. J’ai beaucoup étudié ce qu’il a fait au niveau des voix. C’est tout simplement phénoménal. Il y a aussi Donny Hathaway et Stevie Wonder. Mais en priorité, je suis une fane inconditionnelle de Marvin Gaye et en particulier de son album What’s Going On.
Et l’électro, cela te touche encore ?
Je n’en écoute plus du tout. Je crois que j’ai tout simplement le sentiment d’en avoir fait le tour. A la limite, le seul genre d’électro qui me touche encore, c’est Bjork ou Massive Attack. Donc c’est très réduit. Je trouve que ce qui se fait aujourd’hui, du moins le peu de ce qui me parvient, est très froid. Ca n’a pas de chaleur ni de personnalité.
Pourquoi cette direction soul/funk ?
Je suis parti dans un style soul/funk un peu par hasard. Je ne savais pas vraiment où je voulais aller. Lorsque je faisais de l’électro je samplais beaucoup de voix soul. Il fallait fouiller et rechercher. Et je me suis finalement aperçu que je préférais naturellement ces musiques black à l’électro.
On a tendance à t’inscrire dans un mouvement revival soul/funk. Comment le reçois-tu ?
A vrai dire cela m’étonne. Mais c’est super flatteur. J’ai lu des articles sur Keep The Face où justement on ne tarissait pas déloge. On disait que cela sonnait à l’ancienne, avec un style très américain. A un moment, on me comparait même à Prince dans l’instrumentation. J’étais super étonnée. Et je me sens très loin de tout ça. Je fais les choses dans ma petite cave chez moi, sans me poser de question. Et le fait de recevoir ce genre de réponse, je le reçois forcément comme du pur bonheur.
Pour Feeling, tu n’as pas fait appel à d’autres interprètes, comme pour Keep The face. Tu te sens vocalement plus en confiance ?
Je chante depuis toute petite. Mais avec ma période électro, j’ai eu tendance à mettre de côté la partie chant. C’est en envisageant mon premier album solo que je me suis dit très timidement : « et si je me remettais à chanter ». Mais mon souci, était que j’avais toujours chanté en Français. C’est pour cela que j’ai fait appel à pleins d’interprètes tels que Solale ou Cécile Ndebi qui eux maîtrisent l’écriture et la musicalité soul depuis longtemps. Ce n’est finalement que sur ce deuxième album que je me suis senti capable d’aller jusqu’au bout.
L’époque à laquelle tu rends finalement hommage correspond à une période de chansons dites de « protests songs ». En cela, es-tu une chanteuse engagée ?
Non pas du tout. Comme je te le disais, je suis très limité en ce qui concerne l’anglais. Je ne suis pas bilingue du tout. J’écris mes textes avec mon dictionnaire à côté de moi. Donc, je suis encore incapable d’exprimer tout ce que je voudrais. J’aimerais bien sûr aller vers des textes plus engagés. Pour le moment, mes textes parlent essentiellement d’amour, qui est aussi un pan de la musique soul. Je parle aussi beaucoup de la question des racines et de l’enfance.
Justement d’où viennent ces idées d’interludes rigolos ? A qui appartient la voix d’enfant ?
C’est ma voix. J’ai retrouvé des petites cassettes sur lesquelles je dois avoir cinq ou six ans et où je chantais mes premières petites compositions et où je m’amusais notamment à faire des émissions de radio (rires). C’était mon grand truc de l’époque. Je me suis dit que ça pouvais être assez rigolos de mettre ces petits bouts de mon enfance. J’ai énormément épuré, tellement il y avait de la matière. J’aurais pu faire un album entier avec (rires).
Je chante depuis toute petite. Mais avec ma période électro, j’ai eu tendance à mettre de côté la partie chant. C’est en envisageant mon premier album solo que je me suis dit très timidement : « et si je me remettais à chanter ». Mais mon souci, était que j’avais toujours chanté en Français. C’est pour cela que j’ai fait appel à pleins d’interprètes tels que Solale ou Cécile Ndebi qui eux maîtrisent l’écriture et la musicalité soul depuis longtemps. Ce n’est finalement que sur ce deuxième album que je me suis senti capable d’aller jusqu’au bout.
L’époque à laquelle tu rends finalement hommage correspond à une période de chansons dites de « protests songs ». En cela, es-tu une chanteuse engagée ?
Non pas du tout. Comme je te le disais, je suis très limité en ce qui concerne l’anglais. Je ne suis pas bilingue du tout. J’écris mes textes avec mon dictionnaire à côté de moi. Donc, je suis encore incapable d’exprimer tout ce que je voudrais. J’aimerais bien sûr aller vers des textes plus engagés. Pour le moment, mes textes parlent essentiellement d’amour, qui est aussi un pan de la musique soul. Je parle aussi beaucoup de la question des racines et de l’enfance.
Justement d’où viennent ces idées d’interludes rigolos ? A qui appartient la voix d’enfant ?
C’est ma voix. J’ai retrouvé des petites cassettes sur lesquelles je dois avoir cinq ou six ans et où je chantais mes premières petites compositions et où je m’amusais notamment à faire des émissions de radio (rires). C’était mon grand truc de l’époque. Je me suis dit que ça pouvais être assez rigolos de mettre ces petits bouts de mon enfance. J’ai énormément épuré, tellement il y avait de la matière. J’aurais pu faire un album entier avec (rires).
Quelle est ta contribution sur les albums d’artistes de ton label ?
Je m’occupe d’eux financièrement d’abord. Ensuite, je joue aussi un peu le rôle de directrice artistique. Je les aiguille aussi artistiquement parlant. Je leur apporte tout ce dont ils ont besoin en termes d’édition et ensuite de distribution. Tout ce dont ils ont besoin pour travailler correctement. Mais je les laisse gérer leurs compositions. Là-dessus, je n’interviens pas ou très peu. Il m’ait arrivé de faire une basse sur l’album de Thomas Toussaint, mais rien de plus. D’ailleurs, Thomas est dans le registre électro/funk que je ne maîtrise pas du tout.
En tant que productrice, comment choisis-tu artistes ?
Ca dépend. Thomas Toussaint, par exemple, a tout simplement envoyé une démo dans laquelle il y avait un titre que je trouvais particulièrement bon. La deuxième étape était de voir si le courant pouvait passer humainement. Il faut que je sois touché musicalement et que l’artiste soit sympa, sinon ça ne le fait pas. J’ai rencontré Cécile Ndebi par le biais de Thomas. Sur cette fameuse démo, il y avait ce fameux titre sur lequel il y avait un sample de la voix de Cécile sur laquelle j’ai tout de suite accroché.
Quelle vision as-tu de la scène française en général et parisienne en particulier ?
Je ne sors pas assez et du coup, je ne connais pas plus que ça. Je sais que Sandra Nkaké est formidable. J’ai travaillé avec Wendy que je trouve aussi épatante. Il y en a pleins, mais je les découvre petit à petit.
Quel commentaire entends-tu le plus souvent sur ta musique ?
Que l’on retrouve le son des années 70. Ce qui m’étonne beaucoup encore une fois. Je ne travaille pas du tout comme à l’époque. Je ne fais pas les enregistrements en live, je n’ai pas les amplis à lampes qui donnaient cette chaleur à l’époque. Je travaille avec du matériel super moderne. Je ne dois pas avoir assez de recul sur ma musique, mais je ne trouve pas que mon son soit comparable à celui des années 70. Pas encore…
Tu parlais de courts-métrages tout à l’heure. Tu aimes le cinéma ? Sur un plan cinématographique, qui sont tes références ?
J’aime beaucoup le cinéma d’auteur. Les trucs un peu prise de tête (rires). Je ne suis pas du tout science-fiction. J’adore aussi regarder les documentaires musicaux. Je peux y passer des heures. J’aime aussi énormément le cinéma autrichien. Un réalisateur comme Michael Enku. C’est hyper spé, très sombre, mais j’adore.
Tu as déjà eu des propositions en termes de compositions de BO pour des longs-métrages ?
Non, mais ce serait mon grand rêve.
Pour Keep The Face, tu as fait des concerts ?
J’ai envisagé un live, mais c’était trop compliqué de le mettre en place. Nous étions neuf sur scène, donc cela faisait beaucoup. Je ne trouvais pas bien ma place puisque je n’étais pas voix lead. Je ne savais pas trop où me placer. C’était une formule un peu bâtarde, on ne savait pas trop qui était HF.
J’ai fait un showcase. Il y avait très peu de musiciens et juste Solale et moi. C’était le mieux adapté. Je tournerais d’avantage avec Feeling. Je ferais beaucoup de scènes parisiennes et en province. Je ferais pas mal de festivals, l’été prochain. Le but est maintenant de tourner un maximum.
Pourquoi cette discrétion en terme d’image ? Est-ce de la pudeur ?
On ne découvre effectivement mon visage que dans le livret de Feeling. Mais toujours de façon très discrète. Toujours un peu caché ou les yeux fermés. En plus d’un effet de style, je crois que c’est tout simplement parce ce que je suis naturellement très discrète. Je n’aime pas spécialement me montrer.
Tu en joues aussi pas mal de ce côté mystérieux…
Oui, c’est toujours la surprise. Notamment lorsque j’arrive sur scène et que l’on s’attend à une grande black. Ce que je ne suis pas du tout (rires).
Quelle est ta définition du succès ?
Tu sais pour moi le principal est d’arriver à vivre de la musique. Après, je ne veux pas du tout devenir une star. Cet aspect là, je m’en fiche vraiment. J’envisage aussi de pouvoir faire d’avantage de rencontres et collaborer avec toujours plus d’artistes.
Je m’occupe d’eux financièrement d’abord. Ensuite, je joue aussi un peu le rôle de directrice artistique. Je les aiguille aussi artistiquement parlant. Je leur apporte tout ce dont ils ont besoin en termes d’édition et ensuite de distribution. Tout ce dont ils ont besoin pour travailler correctement. Mais je les laisse gérer leurs compositions. Là-dessus, je n’interviens pas ou très peu. Il m’ait arrivé de faire une basse sur l’album de Thomas Toussaint, mais rien de plus. D’ailleurs, Thomas est dans le registre électro/funk que je ne maîtrise pas du tout.
En tant que productrice, comment choisis-tu artistes ?
Ca dépend. Thomas Toussaint, par exemple, a tout simplement envoyé une démo dans laquelle il y avait un titre que je trouvais particulièrement bon. La deuxième étape était de voir si le courant pouvait passer humainement. Il faut que je sois touché musicalement et que l’artiste soit sympa, sinon ça ne le fait pas. J’ai rencontré Cécile Ndebi par le biais de Thomas. Sur cette fameuse démo, il y avait ce fameux titre sur lequel il y avait un sample de la voix de Cécile sur laquelle j’ai tout de suite accroché.
Quelle vision as-tu de la scène française en général et parisienne en particulier ?
Je ne sors pas assez et du coup, je ne connais pas plus que ça. Je sais que Sandra Nkaké est formidable. J’ai travaillé avec Wendy que je trouve aussi épatante. Il y en a pleins, mais je les découvre petit à petit.
Quel commentaire entends-tu le plus souvent sur ta musique ?
Que l’on retrouve le son des années 70. Ce qui m’étonne beaucoup encore une fois. Je ne travaille pas du tout comme à l’époque. Je ne fais pas les enregistrements en live, je n’ai pas les amplis à lampes qui donnaient cette chaleur à l’époque. Je travaille avec du matériel super moderne. Je ne dois pas avoir assez de recul sur ma musique, mais je ne trouve pas que mon son soit comparable à celui des années 70. Pas encore…
Tu parlais de courts-métrages tout à l’heure. Tu aimes le cinéma ? Sur un plan cinématographique, qui sont tes références ?
J’aime beaucoup le cinéma d’auteur. Les trucs un peu prise de tête (rires). Je ne suis pas du tout science-fiction. J’adore aussi regarder les documentaires musicaux. Je peux y passer des heures. J’aime aussi énormément le cinéma autrichien. Un réalisateur comme Michael Enku. C’est hyper spé, très sombre, mais j’adore.
Tu as déjà eu des propositions en termes de compositions de BO pour des longs-métrages ?
Non, mais ce serait mon grand rêve.
Pour Keep The Face, tu as fait des concerts ?
J’ai envisagé un live, mais c’était trop compliqué de le mettre en place. Nous étions neuf sur scène, donc cela faisait beaucoup. Je ne trouvais pas bien ma place puisque je n’étais pas voix lead. Je ne savais pas trop où me placer. C’était une formule un peu bâtarde, on ne savait pas trop qui était HF.
J’ai fait un showcase. Il y avait très peu de musiciens et juste Solale et moi. C’était le mieux adapté. Je tournerais d’avantage avec Feeling. Je ferais beaucoup de scènes parisiennes et en province. Je ferais pas mal de festivals, l’été prochain. Le but est maintenant de tourner un maximum.
Pourquoi cette discrétion en terme d’image ? Est-ce de la pudeur ?
On ne découvre effectivement mon visage que dans le livret de Feeling. Mais toujours de façon très discrète. Toujours un peu caché ou les yeux fermés. En plus d’un effet de style, je crois que c’est tout simplement parce ce que je suis naturellement très discrète. Je n’aime pas spécialement me montrer.
Tu en joues aussi pas mal de ce côté mystérieux…
Oui, c’est toujours la surprise. Notamment lorsque j’arrive sur scène et que l’on s’attend à une grande black. Ce que je ne suis pas du tout (rires).
Quelle est ta définition du succès ?
Tu sais pour moi le principal est d’arriver à vivre de la musique. Après, je ne veux pas du tout devenir une star. Cet aspect là, je m’en fiche vraiment. J’envisage aussi de pouvoir faire d’avantage de rencontres et collaborer avec toujours plus d’artistes.
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Equal-Musik
www.myspace.com/hfequal
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