Treacherous est un album très varié au niveau des ambiances, comme si vous aviez voulu détruire les frontières entre les musiques…
C’est exactement ce que j’ai voulu faire. Toutes les musiques forment en fait une seule et même musique. Si c’est bon, vous vous fichez de savoir quel style c’est. C’est de la bonne musique, point. J’ai donc essayé de mettre ensemble tous les styles de musiques que j’aime et que j’ai faites. J’ai fait de la dance avec Martin (Solveig NDR), beaucoup de gens me connaissent pour mes albums de funk et de soul, d’autres pour les ballades de blues, d’autres encore pour des titres plus électroniques. Ce que je veux dire aux gens qui apprécient ce que je fais c’est « écoutez cet album et quand vous tombez sur une chanson qui vous plait particulièrement, parlez en autour de vous » parce que la musique de cet album n’est pas un seul et unique genre. J’ai essayé de toucher tout les gens qui ont pu un jour ou l’autre apprécié ma musique. J’aime toutes les musiques, je pourrai même faire de la country !! (Eclats de rire)
Sacré pari non ?
J’ai du mal à comprendre les artistes qui font encore et toujours la même chose depuis des années. Marvin Gaye savait prendre des risques lui ! Il a osé enregistrer des choses qu’on n’entendait pas à l’époque et que personne ne faisait ! Il a commencé par chanter des ballades, puis il a fait What’s Going On ? et vers la fin des 70’s il a encore changé pour évoluer vers des titres plus hot. J’ai voulu un album totalement nouveau et inattendu pour les gens qui connaissaient mes albums précédents. Un album où chacun peut retrouver la facette de mon travail qu’il aime, qu’elle soit dance, soul, funk ou blues. Le but est que les gens qui l’écouteront en découvrent une nouvelle et l’apprécie. C’est sur que c’est un pari…Je vais essayer de réunir tous ces gens et leur faire aimer le même album !
C’est aussi un album plus confidentiel que le précédent…
C’est vraiment quelque chose que j’ai fait tout seul : produit, financé et distribué. J’espère que ça sera un succès même si je n’ai pas tout misé dessus. Le succès « financier » est aussi nécessaire pour pouvoir vivre, c’est pour ça que je continue à enregistrer des morceaux de manière plus conventionnelle comme avec The Expressions.
C’est exactement ce que j’ai voulu faire. Toutes les musiques forment en fait une seule et même musique. Si c’est bon, vous vous fichez de savoir quel style c’est. C’est de la bonne musique, point. J’ai donc essayé de mettre ensemble tous les styles de musiques que j’aime et que j’ai faites. J’ai fait de la dance avec Martin (Solveig NDR), beaucoup de gens me connaissent pour mes albums de funk et de soul, d’autres pour les ballades de blues, d’autres encore pour des titres plus électroniques. Ce que je veux dire aux gens qui apprécient ce que je fais c’est « écoutez cet album et quand vous tombez sur une chanson qui vous plait particulièrement, parlez en autour de vous » parce que la musique de cet album n’est pas un seul et unique genre. J’ai essayé de toucher tout les gens qui ont pu un jour ou l’autre apprécié ma musique. J’aime toutes les musiques, je pourrai même faire de la country !! (Eclats de rire)
Sacré pari non ?
J’ai du mal à comprendre les artistes qui font encore et toujours la même chose depuis des années. Marvin Gaye savait prendre des risques lui ! Il a osé enregistrer des choses qu’on n’entendait pas à l’époque et que personne ne faisait ! Il a commencé par chanter des ballades, puis il a fait What’s Going On ? et vers la fin des 70’s il a encore changé pour évoluer vers des titres plus hot. J’ai voulu un album totalement nouveau et inattendu pour les gens qui connaissaient mes albums précédents. Un album où chacun peut retrouver la facette de mon travail qu’il aime, qu’elle soit dance, soul, funk ou blues. Le but est que les gens qui l’écouteront en découvrent une nouvelle et l’apprécie. C’est sur que c’est un pari…Je vais essayer de réunir tous ces gens et leur faire aimer le même album !
C’est aussi un album plus confidentiel que le précédent…
C’est vraiment quelque chose que j’ai fait tout seul : produit, financé et distribué. J’espère que ça sera un succès même si je n’ai pas tout misé dessus. Le succès « financier » est aussi nécessaire pour pouvoir vivre, c’est pour ça que je continue à enregistrer des morceaux de manière plus conventionnelle comme avec The Expressions.
The Expressions justement ! Ceux qui s’attendent à un My World 2 vont être sacrément surpris. L’ambiance générale de l’album est assez synthétique…
Alors il faut qu’ils aillent directement écouter le titre n° 7 : At The End Of The Day ! Mais s’ils prennent le temps de se pencher sur l’album et de vraiment l’écouter, certains morceaux leur rappelleront My World. Avec The Expressions, on travaille sur un album qui devrait sortir pour la Saint-Valentin. Il sera dans la lignée de My World mais encore plus perfectionné. Treacherous, lui, n’était pas planifié, j’attendais seulement d’avoir assez de titres et d’avoir assez de bons producteurs à mes côtés pour le sortir. J’ai voulu que ça se fasse avec passion.
Plusieurs producteurs donc ?
J’ai travaillé avec Gary Shider (Parliament-Funkadelic – NDR) qui chante sur le morceau reggae de l’album. Neal Graf un producteur New-Yorkais s’est chargé des titres plus électroniques. Il va falloir surveiller ce gars ! C’est un nouveau venu qu’on va bientôt s’arracher ! J’ai produit moi-même le morceau Blues I Want You So Bad, Stan Johnson a fait les morceaux disco. Tous ces gens ont suivi ma carrière et savent que je cherche toujours à faire ce que je n’ai pas encore fait. Je ne m’attends pas à ce que les gens aiment tous les morceaux de l’album, mais il y a forcément dedans un titre qui vous ressemble. J’y ai mis un peu de dance, un peu de funk, un peu de blues… Cet album c’est moi sans les compartimentages imposés par l’industrie musicale. J’ai eu l’opportunité de faire des concerts avec Martin Solveig, des scènes avec BB King ou avec Jerome Bigfoot Brailey et Gary Shider de Parliament-Funkadelic et pourtant je suis un blues man ! Tu vois un peu le bordel ??!! Mais j’adore ça !
Vous avez du abandonner un temps la musique pour y revenir, votre carrière a connue des hauts et des bas, mais rien n’a eu raison de vous définitivement ! Etes-vous immortel ?
C’est parce que depuis le début, je fais tout avec mon cœur et ma Soul. Quand je chante, je ferme les yeux et je plonge au plus profond de moi pour savoir comment je pourrai interpréter ce morceau avec le plus de passion et d’âme. C’est ça la Soul.
Je sais que mon heure est proche mais je n’ai pas peur. Les moments que je passe sur scène, à aller toucher les gens au fin fond d’eux-mêmes, c’est unique. J’essaie de faire en sorte que le public qui vient à mes concerts passe un pur moment de joie et de bonheur où il oublie tout. Qu’il puisse s’échapper de tous ses problèmes, ses soucis et son stress. J’adore atteindre ce point où vous ne faites plus qu’un avec le public et que vous sentez qu’il n’y a plus d’un côté vous et les musiciens et eux de l’autre.
Alors il faut qu’ils aillent directement écouter le titre n° 7 : At The End Of The Day ! Mais s’ils prennent le temps de se pencher sur l’album et de vraiment l’écouter, certains morceaux leur rappelleront My World. Avec The Expressions, on travaille sur un album qui devrait sortir pour la Saint-Valentin. Il sera dans la lignée de My World mais encore plus perfectionné. Treacherous, lui, n’était pas planifié, j’attendais seulement d’avoir assez de titres et d’avoir assez de bons producteurs à mes côtés pour le sortir. J’ai voulu que ça se fasse avec passion.
Plusieurs producteurs donc ?
J’ai travaillé avec Gary Shider (Parliament-Funkadelic – NDR) qui chante sur le morceau reggae de l’album. Neal Graf un producteur New-Yorkais s’est chargé des titres plus électroniques. Il va falloir surveiller ce gars ! C’est un nouveau venu qu’on va bientôt s’arracher ! J’ai produit moi-même le morceau Blues I Want You So Bad, Stan Johnson a fait les morceaux disco. Tous ces gens ont suivi ma carrière et savent que je cherche toujours à faire ce que je n’ai pas encore fait. Je ne m’attends pas à ce que les gens aiment tous les morceaux de l’album, mais il y a forcément dedans un titre qui vous ressemble. J’y ai mis un peu de dance, un peu de funk, un peu de blues… Cet album c’est moi sans les compartimentages imposés par l’industrie musicale. J’ai eu l’opportunité de faire des concerts avec Martin Solveig, des scènes avec BB King ou avec Jerome Bigfoot Brailey et Gary Shider de Parliament-Funkadelic et pourtant je suis un blues man ! Tu vois un peu le bordel ??!! Mais j’adore ça !
Vous avez du abandonner un temps la musique pour y revenir, votre carrière a connue des hauts et des bas, mais rien n’a eu raison de vous définitivement ! Etes-vous immortel ?
C’est parce que depuis le début, je fais tout avec mon cœur et ma Soul. Quand je chante, je ferme les yeux et je plonge au plus profond de moi pour savoir comment je pourrai interpréter ce morceau avec le plus de passion et d’âme. C’est ça la Soul.
Je sais que mon heure est proche mais je n’ai pas peur. Les moments que je passe sur scène, à aller toucher les gens au fin fond d’eux-mêmes, c’est unique. J’essaie de faire en sorte que le public qui vient à mes concerts passe un pur moment de joie et de bonheur où il oublie tout. Qu’il puisse s’échapper de tous ses problèmes, ses soucis et son stress. J’adore atteindre ce point où vous ne faites plus qu’un avec le public et que vous sentez qu’il n’y a plus d’un côté vous et les musiciens et eux de l’autre.
Propos recueillis le 4 juillet 2011.
Pour en savoir plus sur Treacherous et sur Lee "Funky Screw" Fields, un saut vers son SITE OFFICIEL
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