Interview - The Sweet Vandals
Depuis combien de temps le groupe existe t il et comment vous êtes vous rencontrés ?
Le groupe existe depuis deux ans, depuis juin 2005 pour être exact. La section rythmique (Javier Skunk, Yusepe Herranz and Santi Sweetfingers) jouait déjà ensemble depuis 10 ans dans différents projets funk et hip hop (Disky Wick, Celofunk, etc.) avant de rencontrer Carlo Coupé. Celui-ci jouait dans un groupe appelé Funxplosion qu’il leadait. Ils ont alors décidé de former un nouveau groupe afin de jouer du raw funk et ils ont fait appel à Mayka Edjole (avec qui ils avaient déjà travaillé sur le projet Disky Wick), la chanteuse qu’il leur fallait.
Carlo a quitté le groupe en décembre dernier juste après avoir produit notre premier album et Julian Maeso l’a remplacé à l’orgue hammond.
Nous venons de différentes villes (Madrid, Andalousie, Tolède) mais nous habitons tous à Madrid désormais.
Comment faites vous pour sonner comme en 1967 quand vous vivez en 2007 ?
Nous sommes des fanatiques des instruments vintage !!! Amplis, enregistreur à bandes, vieux micros et pré amplis… Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux instruments et nous avons notre propre studio. Nous sonnons donc comme un groupe des années 60 car nos instruments sont vintage et qu’on les enregistre sur nos vieux amplis, avec des micros d’époque. On enregistre sur un multipiste à bandes, le groupe en entier dans la même pièce comme à l’époque. Nous n’utilisons pas d’ordinateurs et ne faisons pas de retouches numériques.
Nous aimons cette musique depuis très longtemps, je crois que c’est la clé de notre son.
L’Angleterre est connu pour avoir une grosse scène Soul & Funk, qu’en est il de l’Espagne ?
Nous avons un début de scène. Le peu de clubs et de djs en activité sont vraiment sympas ; il existe quelques bons groupes revisitant la musique noire américaine (surtout beaucoup de jeunes musiciens en plein essor) et un noyau de fans de funk grandissant de jour en jour. L’industrie musicale espagnole est loin derrière le nord de l’Europe, c’est pourquoi une partie des groupes espagnols enregistrent en Angleterre, en Allemagne, etc.
Nous avons plus de contrats en Europe qu’à domicile, notre album a été d’ailleurs enregistré en Allemagne par Unique et puis mis en licence au Japon, en Russie, en Australie, maintenant en France et au Benelux.
Une question pour Mayka Edjo : d’où viens tu, quel est ton background musical ?
Je suis originaire de Madrid et j’ai toujours baigné dans la bonne musique, surtout funk, soul et jazz des années 60 aux années 80. J’adore la musique qui vient directement des tripes, même le flamenco. Mais j’ai un background un peu plus large.
Je tire mon inspiration de la musique que j’aime et j’écris des textes tirés de mon expérience personnelle, mais aussi de celle des autres membres du groupe.
Question à Javier Gomez : Es tu le seul dj du groupe ? Crois tu que cela t’aide d’être un fin connaisseur pour jouer votre type de musique ?
Je suis dj depuis plus de 10 ans maintenant et j’ai joué dans de nombreux clubs madrilènes comme Marula, La Boca del Lobo, Capote or El Junco. J’ai aussi joué dans différents lieux en Espagne. Mayka est aussi une dj professionnelle depuis de nombreuse année. Santi vient de s’y mettre.
Bien sûr, avoir la connaissance aide à jouer la musique que tu veux vraiment jouer. Surtout dans notre cas, où nous jouons une musique qui n’est pas médiatisée. Au moins jusqu’à aujourd’hui…
Le groupe existe depuis deux ans, depuis juin 2005 pour être exact. La section rythmique (Javier Skunk, Yusepe Herranz and Santi Sweetfingers) jouait déjà ensemble depuis 10 ans dans différents projets funk et hip hop (Disky Wick, Celofunk, etc.) avant de rencontrer Carlo Coupé. Celui-ci jouait dans un groupe appelé Funxplosion qu’il leadait. Ils ont alors décidé de former un nouveau groupe afin de jouer du raw funk et ils ont fait appel à Mayka Edjole (avec qui ils avaient déjà travaillé sur le projet Disky Wick), la chanteuse qu’il leur fallait.
Carlo a quitté le groupe en décembre dernier juste après avoir produit notre premier album et Julian Maeso l’a remplacé à l’orgue hammond.
Nous venons de différentes villes (Madrid, Andalousie, Tolède) mais nous habitons tous à Madrid désormais.
Comment faites vous pour sonner comme en 1967 quand vous vivez en 2007 ?
Nous sommes des fanatiques des instruments vintage !!! Amplis, enregistreur à bandes, vieux micros et pré amplis… Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux instruments et nous avons notre propre studio. Nous sonnons donc comme un groupe des années 60 car nos instruments sont vintage et qu’on les enregistre sur nos vieux amplis, avec des micros d’époque. On enregistre sur un multipiste à bandes, le groupe en entier dans la même pièce comme à l’époque. Nous n’utilisons pas d’ordinateurs et ne faisons pas de retouches numériques.
Nous aimons cette musique depuis très longtemps, je crois que c’est la clé de notre son.
L’Angleterre est connu pour avoir une grosse scène Soul & Funk, qu’en est il de l’Espagne ?
Nous avons un début de scène. Le peu de clubs et de djs en activité sont vraiment sympas ; il existe quelques bons groupes revisitant la musique noire américaine (surtout beaucoup de jeunes musiciens en plein essor) et un noyau de fans de funk grandissant de jour en jour. L’industrie musicale espagnole est loin derrière le nord de l’Europe, c’est pourquoi une partie des groupes espagnols enregistrent en Angleterre, en Allemagne, etc.
Nous avons plus de contrats en Europe qu’à domicile, notre album a été d’ailleurs enregistré en Allemagne par Unique et puis mis en licence au Japon, en Russie, en Australie, maintenant en France et au Benelux.
Une question pour Mayka Edjo : d’où viens tu, quel est ton background musical ?
Je suis originaire de Madrid et j’ai toujours baigné dans la bonne musique, surtout funk, soul et jazz des années 60 aux années 80. J’adore la musique qui vient directement des tripes, même le flamenco. Mais j’ai un background un peu plus large.
Je tire mon inspiration de la musique que j’aime et j’écris des textes tirés de mon expérience personnelle, mais aussi de celle des autres membres du groupe.
Question à Javier Gomez : Es tu le seul dj du groupe ? Crois tu que cela t’aide d’être un fin connaisseur pour jouer votre type de musique ?
Je suis dj depuis plus de 10 ans maintenant et j’ai joué dans de nombreux clubs madrilènes comme Marula, La Boca del Lobo, Capote or El Junco. J’ai aussi joué dans différents lieux en Espagne. Mayka est aussi une dj professionnelle depuis de nombreuse année. Santi vient de s’y mettre.
Bien sûr, avoir la connaissance aide à jouer la musique que tu veux vraiment jouer. Surtout dans notre cas, où nous jouons une musique qui n’est pas médiatisée. Au moins jusqu’à aujourd’hui…
Crédit Photo : Yann Boghal
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www.differ-ant.fr
www.funkoramarecords.com
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The Sweet Vandals en concert >>> voir les dates
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www.myspace.com/thesweetvandals
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www.funkoramarecords.com
LE GROUPE
Mayka Edjo - Voix
Jose "Yusepe" Herranz - Guitare
Santi "Sweetfingers" Martín - Basse www.myspace.com/santimartin
Carlo Coupé - Orgue Hammond www.myspace.com/funkoramarecords
Javi "Skunk" - Batterie www.myspace.com/djjaviskunk
Guest - Julian Maeso - Orgue Hammond
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Mayka Edjo - Voix
Jose "Yusepe" Herranz - Guitare
Santi "Sweetfingers" Martín - Basse www.myspace.com/santimartin
Carlo Coupé - Orgue Hammond www.myspace.com/funkoramarecords
Javi "Skunk" - Batterie www.myspace.com/djjaviskunk
Guest - Julian Maeso - Orgue Hammond
