Ayant commencé sa carrière à la fin des années 50, il était clair que nous allions rencontrer non seulement une mémoire vivante de la musique noire américaine, au même titre que les autres affiches (et pas des moindre) de la Groove’n’Funky #4 Damon Harris des Temptations et Lonnie Liston Smith, mais surtout un témoin et un activiste de la cause afro – américaine.
Bien sûr Kim Weston n’a pas eu le même exposition des Diana Ross, Marvin Gaye, Smokey Robinson et autres Stevie Wonder, bien qu’elle soit tout de même à l’origine de single mémorables (aucun album) comme son duo avec Marvin Gaye « It Takes Two » en 1966, son succès le plus connu. Son passage à la Motown et son mariage avec l’un des producteurs lui ont permis de réaliser une carrière exemplaire, à la Motown ou ailleurs.
Mais ce qu’il faut avant tout retenir, c’est que cette femme de 67 ans a passé sa vie à œuvrer en faveur de la communauté noire, tout d’abord à Détroit sa ville natale où elle a créée un festival d’art contemporain, puis à travers les Etats-Unis et dans le monde (plus récemment en Israël où elle à fondé un programme d’initiation à la musique en faveur des jeunes défavorisés). Sa foi et sa notoriété, couplés avec ses compétences (elle a continué ses études d’arts contemporains à la Herbert Burghoff School of Dramatic Arts à New York), lui ont permis de figurer en lettres dorées au panthéon de la musique noire américaine.
Bien sûr Kim Weston n’a pas eu le même exposition des Diana Ross, Marvin Gaye, Smokey Robinson et autres Stevie Wonder, bien qu’elle soit tout de même à l’origine de single mémorables (aucun album) comme son duo avec Marvin Gaye « It Takes Two » en 1966, son succès le plus connu. Son passage à la Motown et son mariage avec l’un des producteurs lui ont permis de réaliser une carrière exemplaire, à la Motown ou ailleurs.
Mais ce qu’il faut avant tout retenir, c’est que cette femme de 67 ans a passé sa vie à œuvrer en faveur de la communauté noire, tout d’abord à Détroit sa ville natale où elle a créée un festival d’art contemporain, puis à travers les Etats-Unis et dans le monde (plus récemment en Israël où elle à fondé un programme d’initiation à la musique en faveur des jeunes défavorisés). Sa foi et sa notoriété, couplés avec ses compétences (elle a continué ses études d’arts contemporains à la Herbert Burghoff School of Dramatic Arts à New York), lui ont permis de figurer en lettres dorées au panthéon de la musique noire américaine.
Il est environ 15h30 ce samedi 18 mars 2006 quand une dame âgée traverse le Bataclan pour rejoindre la scène afin de faire ses balances. Les poids des années (et peut être un vison trop épais) pèsent irrémédiablement à chacun de ses pas et sur chaque marche des multiples escaliers que compte la salle de spectacle.
Mais dès le micro empoigné et les premières notes de musique, la magie revient et ce corps jusque là fragile s’agite comme par enchantement. Oublié les problèmes de dos et place à une voix qui n’a pas pris une ride. L’artiste va plus loin en tapotant quelques notes sur un clavier.
Une demi – heure plus tard, Kim Weston trouve encore l’énergie, que seule sa passion peut expliquer, pour se prêter volontiers aux exercices de promotion que sont la séance de photos d’Hugo ou encore notre interview à son hôtel.
Une grande dame au micro de wegofunk.
Mais dès le micro empoigné et les premières notes de musique, la magie revient et ce corps jusque là fragile s’agite comme par enchantement. Oublié les problèmes de dos et place à une voix qui n’a pas pris une ride. L’artiste va plus loin en tapotant quelques notes sur un clavier.
Une demi – heure plus tard, Kim Weston trouve encore l’énergie, que seule sa passion peut expliquer, pour se prêter volontiers aux exercices de promotion que sont la séance de photos d’Hugo ou encore notre interview à son hôtel.
Une grande dame au micro de wegofunk.
Remerciements
- Groove Productions et plus particulièrement à Victoria.
- Nicolas, notre traducteur d’un jour.
- Groove Productions et plus particulièrement à Victoria.
- Nicolas, notre traducteur d’un jour.