Cette histoire abracadabrantesque, comme disait notre président, se déroule vers la fin des années soixante, juste avant Woodstock. Jimi Hendrix se balade dans les rues de la grosse pomme, à la recherche de quelques puissants psychotropes. A cette époque il est déjà réputé pour sa consommation de drogues, il est alors repéré par deux Italo-Américains dans la force de l’âge. Flairant le gros gibier, ils décident de lui tendre un traquenard en l’assurant qu’ils peuvent lui procurer de la dope. Jimi, en bon hippie qu’il se doit, ne se doute pas un instant du mauvais tour qui se trame. Les deux scarfaces en herbes l'emmènent dans un appartement, appellent son manager et lui demandent une rançon.
C’est ce dernier qui fait rentrer en scène Jon Roberts. L’homme n’est pas encore celui qui dirigera le cartel de Medellin mais il connaît le monde de la rue, chose utile dans ce genre de situation. Il se renseigne et réussi à joindre les deux larrons au téléphone pour leur déconseiller de toucher à l’idole des jeunes, ce qu'ils acceptent. Après ça, la fin, tout le monde la connaît, il ne vécut pas longtemps et eu quelques enfants illégitimes.
Dans son livre, le trafiquant raconte que Jimi ne se souvenait pas de cet épisode car il devait être trop stone, mais il a été confirmé par des proches du guitariste de Seattle. A la fin, Jon Roberts le remercie car selon lui, il n’aurait peut-être pas connu sa vie colombienne sans cette histoire.
L'article : www.rollingstone.com/music/news/book-excerpt-the-man-who-saved-jimi-hendrix-from-the-mafia-20111118
C’est ce dernier qui fait rentrer en scène Jon Roberts. L’homme n’est pas encore celui qui dirigera le cartel de Medellin mais il connaît le monde de la rue, chose utile dans ce genre de situation. Il se renseigne et réussi à joindre les deux larrons au téléphone pour leur déconseiller de toucher à l’idole des jeunes, ce qu'ils acceptent. Après ça, la fin, tout le monde la connaît, il ne vécut pas longtemps et eu quelques enfants illégitimes.
Dans son livre, le trafiquant raconte que Jimi ne se souvenait pas de cet épisode car il devait être trop stone, mais il a été confirmé par des proches du guitariste de Seattle. A la fin, Jon Roberts le remercie car selon lui, il n’aurait peut-être pas connu sa vie colombienne sans cette histoire.
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