Pour leurs 2 rounds Parisiens, Plunky Branch et Oneness avaient tout misé sur la discrétion, peut-être pour ne pas éveiller les soupçons de la CIA. Pas de peintures de guerre, pas de tenues d’apparat, à peine une étoffe africaine attachée sur le saxo façon fanion du RC Lens sur le rétro du Scenic.
Passés inaperçus à l’aéroport, ça n’est qu’une fois en sécurité dans leur planque du New Morning que les Virginiens ont enfin déballés ce qui avait échappé à la vigilance des douaniers : de gros sacs de juice jazz-funk. De quoi remettre illico dans le sens de la marche un public qui avait dû attendre 22 H. 30 et s’infuser une soporifique 1ère partie pour enfin décoller. En transe dès les premières notes sorties de la clarinette de Plunky l’atterrissage ne s’est fait que deux heures plus loin après un crochet par les classiques African Rhythm et Love Rite, des titres du flambant neuf Drive It, et des medleys de références diverses et variées (Roy Ayers, Bob Marley, Kool & The Gang…). Le tout labouré par la présence d’œillades, de références et de reprises de Funkadelic et Parliament.
Plunky est visiblement un gros gros fan de P.Funk. Et ça, ça fait plaisir
Passés inaperçus à l’aéroport, ça n’est qu’une fois en sécurité dans leur planque du New Morning que les Virginiens ont enfin déballés ce qui avait échappé à la vigilance des douaniers : de gros sacs de juice jazz-funk. De quoi remettre illico dans le sens de la marche un public qui avait dû attendre 22 H. 30 et s’infuser une soporifique 1ère partie pour enfin décoller. En transe dès les premières notes sorties de la clarinette de Plunky l’atterrissage ne s’est fait que deux heures plus loin après un crochet par les classiques African Rhythm et Love Rite, des titres du flambant neuf Drive It, et des medleys de références diverses et variées (Roy Ayers, Bob Marley, Kool & The Gang…). Le tout labouré par la présence d’œillades, de références et de reprises de Funkadelic et Parliament.
Plunky est visiblement un gros gros fan de P.Funk. Et ça, ça fait plaisir