Faite du matériau dans lesquelles ont été sculptées les plus belles divas : cet alliage de caresses et de coups de griffes, à la fois solide et pourtant à 2 doigts de la fêlure. Impossible de ne pas la classer dans la catégorie des Lyn Collins ou des Gwen Mc Crae. De ces soulsisters sans fioritures, âpres, et sans détour qui chantent le micro branché dans le cœur et les tripes sur la console. La souffrance qui se met en musique, c’est malheureusement l’ingrédient principal de bien des albums.
Aussi à l’aise à cru sur la rythmique que confortablement installée dans des nappes de cordes ou portée par des cuivres, rocailleuse ou quasi-masculine, Marie Lyons n’y fait pas exception avec ses 35 minutes d’émotion réelle, balancée brut de brut, Soulement vibrante et belle à en pleurer. Une diva qui n’a fait que cet unique tour de piste pour ensuite disparaitre totalement du circuit et de la circulation.
Ajouté à l’épais mystère qui entoure l’album (pour en savoir plus, lire les notes de pochettes…), tout concourt à inscrire Soul Fever dans la colonne des albums indispensables.
Aussi à l’aise à cru sur la rythmique que confortablement installée dans des nappes de cordes ou portée par des cuivres, rocailleuse ou quasi-masculine, Marie Lyons n’y fait pas exception avec ses 35 minutes d’émotion réelle, balancée brut de brut, Soulement vibrante et belle à en pleurer. Une diva qui n’a fait que cet unique tour de piste pour ensuite disparaitre totalement du circuit et de la circulation.
Ajouté à l’épais mystère qui entoure l’album (pour en savoir plus, lire les notes de pochettes…), tout concourt à inscrire Soul Fever dans la colonne des albums indispensables.
PS : Pourquoi la pochette ressemble t’elle autant à cette compile ?