Dans un temps où les jeunes femmes auteurs, compositeurs et musiciennes Soul (voir Pop – Folk) séduisent le plus grand nombre, voici venir Nneka avec son album « Victim Of Truth » sorti chez Nocturne.
En aparté de ses contemporaines que sont Ayo et Corinne Bailey Rae, Nneka fait valoir sa musique plurielle. Bien que venant de Hambourg, c’est tournée vers son Afrique natale, et plus particulièrement le Nigeria, que l’artiste a construit les fondations de sa musique (« Africans »). Des textes conscients sur notre monde (« Material Things », « Burning Bush »), les facettes de la condition humaine (« Confession ») et le parcours d’une femme loin de ses terres mais si imprégnée de son époque (« Stand Strong »), se croisent avec une croyance profonde en dieu et une spiritualité à toute épreuve (« God Of Mercy »).
Coté musique, de nombreux éléments nous renvoient volontiers à la comparaison avec Lauryn Hill ou encore Neneh Cherry. Hors de question d’affirmer que Nneka cherche à les imiter. Non, la ressemblance se limite à son envie de moduler les styles, sa capacité à basculer à bon escient dans l’underground, comme pour mieux appuyer ses textes. Pour se faire, elle n’hésite pas à puiser dans ses principales influences que sont la Soul, le Reggae et le Hip Hop. Des variations habiles puisque l’album reste homogène sans tomber dans le linéaire sirupeux.
Nneka témoigne de son temps et ne distille des messages que pour laisser le libre arbitre à chacun, laissant le jugement final qu’à dieu, initiateur de sa destinée, celle là même qui la conduit en Allemagne où elle a rencontré fortuitement son producteur DJ Farhot (Hit Spot Productions) alors que sa carrière ne décollait pas vraiment. « Je ne me considère pas comme une interprète mais plutôt comme quelqu’un qui partage ses émotions avec les autres. J’ai la chance, par la grâce de dieu, de pouvoir chanter mes messages sur vos scènes. Et si les media me soutiennent, tant mieux car c’est un avantage dont le monde peut avoir besoin ». Tout est dit …
En aparté de ses contemporaines que sont Ayo et Corinne Bailey Rae, Nneka fait valoir sa musique plurielle. Bien que venant de Hambourg, c’est tournée vers son Afrique natale, et plus particulièrement le Nigeria, que l’artiste a construit les fondations de sa musique (« Africans »). Des textes conscients sur notre monde (« Material Things », « Burning Bush »), les facettes de la condition humaine (« Confession ») et le parcours d’une femme loin de ses terres mais si imprégnée de son époque (« Stand Strong »), se croisent avec une croyance profonde en dieu et une spiritualité à toute épreuve (« God Of Mercy »).
Coté musique, de nombreux éléments nous renvoient volontiers à la comparaison avec Lauryn Hill ou encore Neneh Cherry. Hors de question d’affirmer que Nneka cherche à les imiter. Non, la ressemblance se limite à son envie de moduler les styles, sa capacité à basculer à bon escient dans l’underground, comme pour mieux appuyer ses textes. Pour se faire, elle n’hésite pas à puiser dans ses principales influences que sont la Soul, le Reggae et le Hip Hop. Des variations habiles puisque l’album reste homogène sans tomber dans le linéaire sirupeux.
Nneka témoigne de son temps et ne distille des messages que pour laisser le libre arbitre à chacun, laissant le jugement final qu’à dieu, initiateur de sa destinée, celle là même qui la conduit en Allemagne où elle a rencontré fortuitement son producteur DJ Farhot (Hit Spot Productions) alors que sa carrière ne décollait pas vraiment. « Je ne me considère pas comme une interprète mais plutôt comme quelqu’un qui partage ses émotions avec les autres. J’ai la chance, par la grâce de dieu, de pouvoir chanter mes messages sur vos scènes. Et si les media me soutiennent, tant mieux car c’est un avantage dont le monde peut avoir besoin ». Tout est dit …