Quincy est né dans les années 30 à Chicago ; son enfance n’est pas des plus heureuses : sa mère tombe malade (schizophrénie) et est internée sous ses yeux alors qu’il n’a pas 10 ans ; son père, alors charpentier pour la mafia locale, ne peut s’occuper de ses deux fils (Quincy est l’aîné) et les envoie seuls chez leur grand-mère pendant 1 an.
Ils déménagent un peu plus tard avec belle-mère et demi-frères pour Sinclair Heights, ville-dortoir dans l’Etat de Washington où Quincy fait ses premières armes musicales sur le piano de la salle des fêtes communale. Il a alors 11 ans et passe ses après-midi libres à reproduire les thèmes que sa mère jouait ou qu’il entendait à la radio.
Il rentre alors dans l’orchestre du collège et c’est à la trompette qu’il éprouve le plus de plaisir. Lorsqu’il n’est pas en train de répéter des heures durant, il travaille comme commis dans une blanchisserie située sous un bar où mafieux et alcooliques se retrouvent pour écouter les groupes de jazz qui s’y produisent.
C’est à Seattle que la famille élit domicile alors que Quincy a 14 ans ; il y rencontre Ray Charles alors âgé de 16 ans (et déjà musicien professionnel !!!) qui deviendra un de ses meilleurs amis. Ensemble, ils vont écouter les grands orchestres de Duke Ellington , Count Basie et Lionel Hampton ...
C’est ainsi que débute la carrière de ce musicien de jazz hors pair : aux côtés des big bands dans les années 40-50, puis avec sa propre formation.
On le retrouve un peu plus tard arrangeur en France pour les Disques Barclay (enregistrant pour Charles Aznavour ou Henri Salvador ), au Birdland (le plus grand club de jazz de New-York) en train de jammer avec Miles Davis , ou bien parmi l’Orchestre de Dizzy Gillespie . C’est d’ailleurs au cours d’une de leurs tournées en Amérique du Sud qu’ils rencontrent dans un club de jazz argentin le jeune Lalo Schifrin .
Quincy, tout au long des 350 pages, raconte sa vie avec passion, prenant soin de n’oublier aucune anecdote. Il partage aussi ses exploits de séducteur et détaille chacune de ses rencontres, qu’elles soient musicales ou amoureuses, heureuses ou malheureuses, évidentes ou incroyables.
Du jeune jazzman des années 40 au producteur hyper-actif des années 80, le parcours d'un musicien hors du commun.
INDISPENSABLE!!!
Ils déménagent un peu plus tard avec belle-mère et demi-frères pour Sinclair Heights, ville-dortoir dans l’Etat de Washington où Quincy fait ses premières armes musicales sur le piano de la salle des fêtes communale. Il a alors 11 ans et passe ses après-midi libres à reproduire les thèmes que sa mère jouait ou qu’il entendait à la radio.
Il rentre alors dans l’orchestre du collège et c’est à la trompette qu’il éprouve le plus de plaisir. Lorsqu’il n’est pas en train de répéter des heures durant, il travaille comme commis dans une blanchisserie située sous un bar où mafieux et alcooliques se retrouvent pour écouter les groupes de jazz qui s’y produisent.
C’est à Seattle que la famille élit domicile alors que Quincy a 14 ans ; il y rencontre Ray Charles alors âgé de 16 ans (et déjà musicien professionnel !!!) qui deviendra un de ses meilleurs amis. Ensemble, ils vont écouter les grands orchestres de Duke Ellington , Count Basie et Lionel Hampton ...
C’est ainsi que débute la carrière de ce musicien de jazz hors pair : aux côtés des big bands dans les années 40-50, puis avec sa propre formation.
On le retrouve un peu plus tard arrangeur en France pour les Disques Barclay (enregistrant pour Charles Aznavour ou Henri Salvador ), au Birdland (le plus grand club de jazz de New-York) en train de jammer avec Miles Davis , ou bien parmi l’Orchestre de Dizzy Gillespie . C’est d’ailleurs au cours d’une de leurs tournées en Amérique du Sud qu’ils rencontrent dans un club de jazz argentin le jeune Lalo Schifrin .
Quincy, tout au long des 350 pages, raconte sa vie avec passion, prenant soin de n’oublier aucune anecdote. Il partage aussi ses exploits de séducteur et détaille chacune de ses rencontres, qu’elles soient musicales ou amoureuses, heureuses ou malheureuses, évidentes ou incroyables.
Du jeune jazzman des années 40 au producteur hyper-actif des années 80, le parcours d'un musicien hors du commun.
INDISPENSABLE!!!
Quincy
Quincy Jones
Editions Robert Laffont
Traduit de l’américain par Mimi et Isabelle Perrin
2003
Le site officiel
Le site de Quincy Jones
Pour acheter ce livre
Et le coffret musical de 4 CD associé : Q: The Musical Biography of Quincy Jones
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Editions Robert Laffont
Traduit de l’américain par Mimi et Isabelle Perrin
2003
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