Rad. - East Baby
L'artiste (Source : Communiqué de presse)
Rose Ann Dimalanta native de Oakland, a grandi dans la baie de San Francisco, un lieu riche en groupes et musiciens prestigieux.
D’abord attirée par le funk, elle a découvert le jazz à l’adolescence, apprécié Bill Evans, Wynton Kelly, Ramsey Lewis, Joe Sample et Horace Silver. Mais de son propre aveu, sa passion l’a ensuite emporté.
« Patrice Rushen était une star et j’aimais son syle très dance music. En fait, même si je rêvais de devenir une grande instrumentiste de jazz, je continuais d’adorer la musique populaire, funky. »
Au début des années quatre-vingt-dix, rad. enregistre son premier disque, « Radified » (1992), puis « Gotta Be » (1994) avec Roger Troutman de Zapp, et Howard Johnson, le célèbre jazzman. L’Europe l’adopte et la petite chanteuse se produit souvent dans les salles du continent, notamment à Londres (Jazz Café) et à Paris (New Morning). « Higher Plane » en 1997, avec David Garibaldi à la batterie (Tower Of Power), Bobby Vega à la basse (Sly Stone), Mark Russo au saxophone (Yellowjackets), puis « Make Every Second Count » en 2001, renforcent sa réputation dans le public et auprès de ses confrères. rad. joue avec Maceo Parker, Sheila E. ou Bobby Byrd. En 2003, un cd-dvd « Live At The New Morning » paraît, restituant l’énergie de rad., sur scène.
Puis rad. accompagne Prince sur sa tournée « Musicology » en 2004. Après plusieurs tournées, rad. s’est donc ensuite attelée à la préparation de ce projet qui lui tenait à cœur depuis longtemps.
Le disque (Source : Communiqué de presse)
EAST BABE est donc ce nouveau disque, « fait main », comme se plaît à le souligner rad. « sans boucle, ni sample ».
Originaires de la Bay Area, rad. et son mari (et producteur) Michael Kirsch en défendent l’héritage. Ce dernier a d’ailleurs appris son métier auprès des ingénieurs du son impliqués dans la réalisation des albums de groupes légendaires de la région comme les Tower Of Power ou les Headhunters. Comme eux, il préfère les bonnes vieilles méthodes analogiques et considère l’enregistrement comme un moyen de participer à l’élaboration d’un projet artistique authentique, d’un bout à l’autre.
Musicalement, le couple ne masque pas non plus ses préférences pour un funk festif, pour une certaine manière de (faire) partager son goût pour une musique de qualité au service d’un rendu communicatif, dansant. On bouge au moins la tête, on martèle le sol sur chacun des thèmes d’EAST BABE. Le nouveau projet de rad. ne déroge pas à ses bonnes habitudes : il a été entièrement conçu par rad. Auteur-compositeur et interprète, la jeune femme assume ses choix. En matière musicale, ceux-ci s’avèrent éclectiques mais toujours groovy. Pour arrimer ses chansons sur de bonnes bases, rad. a choisi le batteur John Blackwell, entendu chez Prince, capable de prouesses pyrotechniques fracassantes (le pamphlet anti-Bush « That Ain’t No Way ») ou de poser un beat solide, très solide. Le batteur David Garibaldi (Tower Of Power), le guitariste Ray Obiedo (Herbie Hancock) sont aussi de la party avec d’autres pointures. Et cela s’entend !
Pour couronner cette année riche, rad. entamera au printemps une nouvelle tournée avec Eric Leeds au saxophone (Prince), Billy Johnson à la batterie (Santana, Maze), Marc Van Wageningen à la basse (Sheila E, Tower Of Power) et Ray Obiedo à la guitare (Herbie Hancock).
Rose Ann Dimalanta native de Oakland, a grandi dans la baie de San Francisco, un lieu riche en groupes et musiciens prestigieux.
D’abord attirée par le funk, elle a découvert le jazz à l’adolescence, apprécié Bill Evans, Wynton Kelly, Ramsey Lewis, Joe Sample et Horace Silver. Mais de son propre aveu, sa passion l’a ensuite emporté.
« Patrice Rushen était une star et j’aimais son syle très dance music. En fait, même si je rêvais de devenir une grande instrumentiste de jazz, je continuais d’adorer la musique populaire, funky. »
Au début des années quatre-vingt-dix, rad. enregistre son premier disque, « Radified » (1992), puis « Gotta Be » (1994) avec Roger Troutman de Zapp, et Howard Johnson, le célèbre jazzman. L’Europe l’adopte et la petite chanteuse se produit souvent dans les salles du continent, notamment à Londres (Jazz Café) et à Paris (New Morning). « Higher Plane » en 1997, avec David Garibaldi à la batterie (Tower Of Power), Bobby Vega à la basse (Sly Stone), Mark Russo au saxophone (Yellowjackets), puis « Make Every Second Count » en 2001, renforcent sa réputation dans le public et auprès de ses confrères. rad. joue avec Maceo Parker, Sheila E. ou Bobby Byrd. En 2003, un cd-dvd « Live At The New Morning » paraît, restituant l’énergie de rad., sur scène.
Puis rad. accompagne Prince sur sa tournée « Musicology » en 2004. Après plusieurs tournées, rad. s’est donc ensuite attelée à la préparation de ce projet qui lui tenait à cœur depuis longtemps.
Le disque (Source : Communiqué de presse)
EAST BABE est donc ce nouveau disque, « fait main », comme se plaît à le souligner rad. « sans boucle, ni sample ».
Originaires de la Bay Area, rad. et son mari (et producteur) Michael Kirsch en défendent l’héritage. Ce dernier a d’ailleurs appris son métier auprès des ingénieurs du son impliqués dans la réalisation des albums de groupes légendaires de la région comme les Tower Of Power ou les Headhunters. Comme eux, il préfère les bonnes vieilles méthodes analogiques et considère l’enregistrement comme un moyen de participer à l’élaboration d’un projet artistique authentique, d’un bout à l’autre.
Musicalement, le couple ne masque pas non plus ses préférences pour un funk festif, pour une certaine manière de (faire) partager son goût pour une musique de qualité au service d’un rendu communicatif, dansant. On bouge au moins la tête, on martèle le sol sur chacun des thèmes d’EAST BABE. Le nouveau projet de rad. ne déroge pas à ses bonnes habitudes : il a été entièrement conçu par rad. Auteur-compositeur et interprète, la jeune femme assume ses choix. En matière musicale, ceux-ci s’avèrent éclectiques mais toujours groovy. Pour arrimer ses chansons sur de bonnes bases, rad. a choisi le batteur John Blackwell, entendu chez Prince, capable de prouesses pyrotechniques fracassantes (le pamphlet anti-Bush « That Ain’t No Way ») ou de poser un beat solide, très solide. Le batteur David Garibaldi (Tower Of Power), le guitariste Ray Obiedo (Herbie Hancock) sont aussi de la party avec d’autres pointures. Et cela s’entend !
Pour couronner cette année riche, rad. entamera au printemps une nouvelle tournée avec Eric Leeds au saxophone (Prince), Billy Johnson à la batterie (Santana, Maze), Marc Van Wageningen à la basse (Sheila E, Tower Of Power) et Ray Obiedo à la guitare (Herbie Hancock).
