Au pays de l'afrobeat, toutes les productions actuelles ne sont pas égales. Certaines tentent de rejouer à l'identique la musique du grand Fela, mais sans succès. D'autres s'inspirent de cette rythmique si particulière, mais n'arrivent à en extraire la substantifique moëlle.
Ruth Tafébé et ses AfroRockerz ont, eux, réussi à synthétiser l'énergie de l'afrobeat. Ils nous délivrent ici un message moderne en ces temps bien chaotiques, sans pour autant s'imposer comme des sauveurs. Ruth Tafebe transpose avec délicatesse les problèmes soulevés dans le monde de Fela, gardant la ferveur musicale, support idéale à ce discours.
Elle s'entoure pour l'occasion de Julien Raulet, guitariste de Fanga, qui écrit avec elle la plupart des titres.
Aux arrangements, production et mix, Pierre Vandewaeter fait un travail exceptionnel, intransigeant, si proche de l'esprit identitaire et moderne insufflé par les deux compositeurs.
Un premier album poignant et puissant qui trouve sa place sans rougir auprès des maîtres Fela et Tony Allen.
Ruth Tafébé et ses AfroRockerz ont, eux, réussi à synthétiser l'énergie de l'afrobeat. Ils nous délivrent ici un message moderne en ces temps bien chaotiques, sans pour autant s'imposer comme des sauveurs. Ruth Tafebe transpose avec délicatesse les problèmes soulevés dans le monde de Fela, gardant la ferveur musicale, support idéale à ce discours.
Elle s'entoure pour l'occasion de Julien Raulet, guitariste de Fanga, qui écrit avec elle la plupart des titres.
Aux arrangements, production et mix, Pierre Vandewaeter fait un travail exceptionnel, intransigeant, si proche de l'esprit identitaire et moderne insufflé par les deux compositeurs.
Un premier album poignant et puissant qui trouve sa place sans rougir auprès des maîtres Fela et Tony Allen.
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BIOGRAPHIE
Source : http://www.nocturne.fr/produit.cfm?id_produit=6786
Il n’a pas été nécessaire que Ruth TAFEBE naisse dans une famille d’artistes pour que la musique prenne une place importante dans sa vie, et ce, dès son plus jeune âge. Elle est née en Côte d’Ivoire de 2 parents enseignants dans une heureuse famille qui comptait déjà 8 enfants. Reggae, Soul, Funk, Hip Hop, Soukouss, Rumba, Hi Life, Afro beat, chanson Française, sont les genres musicaux qui accompagnèrent son enfance, et les premières chansons qu’elle retenu par coeur étaient d’abord celles de Bob MARLEY, de Peter TOSH, puis d’AFRIKA BAMBAATA, Shalamar ou encore plus tard, de Sade ou alpha Blondy.
Cela dit, le désir de faire de la musique son occupation principale, ne viendra que beaucoup plus tard, lorsqu’elle part en France étudier. Au cours de sa deuxième année à Montpellier (à 17 ans), elle intègre son premier groupe : La Sagrada Familia, formé avec quelques copains d’aumônerie et du lycée. Ce groupe d’adolescents qui joue aussi bien ses propres compos de Funk et de Reggae, fait aussi quelques reprises de morceaux Rock aux cours de quelques concerts à Montpellier. Ces études la conduisent à quitter la ville, et à mettre la musique entre parenthèses pendant 2 ans. À son retour, elle réintègre la Sagrada Familia qui, quelques mois après, se produit à Barcelone. C’est au cours de ce voyage qu’elle rencontre Dj Sundae, qui commence à produire quelques morceaux et qui aimerait bien la voir chanter dessus. Leurs deux cultures musicales sont très proches, voire semblables, à l’exception peut-être de l’élément « musique Africaine », le projet The Sun Shipp naît très vite, et leur soul urbaine conquit de nombreux Montpelliérains, y compris le jury de la compilation Montpellier 2000, puis celui des jeunes talents du festival de Bourges où le groupe se produit en 2001. Un contrat est signé avec La Rosière records et leur premier Maxi paraît avec un remix de Meitz du sonar Kollektiv.
Au cours des années suivantes, leur notoriété grandit, et la chanteuse participe à d’autres projets : INFUSED, Clotaire K…Quand Ruth quitte Montpellier, ils décident de mettre le projet en attente et de se laisse le temps de participer à d’autres choses. Entre temps, elle aura rencontré Julien RAULET, guitariste du groupe d’afro beat Montpelliérain, Fanga. L’axe principal de cette rencontre est l’afro beat, et c’est dans cet esprit qu’ils commencent à faire des morceaux ensemble. Au cours de ses pérégrinations, Ruth rencontre les membres d’Antibalas, dignes héritiers de FELA ce qui renforce son envie de participer à la diffusion de cette musique. En outre, son désir de militantisme allant grandissant, il lui paraît évident que cette voie est la bonne.
Puis la vie leur permet de rencontrer Tony ALLEN qui, accepte avec la plus grande humilité, de participer à ce jeune projet, qui les guide et les met en contact avec Eric Trosset de Comet records, Label Parisien, bien connu pour son rôle joué dans la diffusion et le renouveau de l’afro beat. Le projet d’album naît assez vite, les morceaux après avoir étés composés par Julien Raulet et écrits par Ruth, prennent leur réelle dimension grâce au travail de de post-production et arrangements de Pierre Vandewaeter et Jean-Charles…
Le collectif AFROROKERZ est né. Le premier album : Holy Warriors sortira en mai 2007.
Ruth TAFEBE se produit tous les Samedis au mythique St Nick’s Pub de Harlem, pub qui reçoit régulièrement, de grands musiciens de jazz et participe depuis de nombreuses années à entretenir la magie musicale de New York.
Le militantisme est ma voie, la musique est ma meilleure amie.
Source : http://www.nocturne.fr/produit.cfm?id_produit=6786
Il n’a pas été nécessaire que Ruth TAFEBE naisse dans une famille d’artistes pour que la musique prenne une place importante dans sa vie, et ce, dès son plus jeune âge. Elle est née en Côte d’Ivoire de 2 parents enseignants dans une heureuse famille qui comptait déjà 8 enfants. Reggae, Soul, Funk, Hip Hop, Soukouss, Rumba, Hi Life, Afro beat, chanson Française, sont les genres musicaux qui accompagnèrent son enfance, et les premières chansons qu’elle retenu par coeur étaient d’abord celles de Bob MARLEY, de Peter TOSH, puis d’AFRIKA BAMBAATA, Shalamar ou encore plus tard, de Sade ou alpha Blondy.
Cela dit, le désir de faire de la musique son occupation principale, ne viendra que beaucoup plus tard, lorsqu’elle part en France étudier. Au cours de sa deuxième année à Montpellier (à 17 ans), elle intègre son premier groupe : La Sagrada Familia, formé avec quelques copains d’aumônerie et du lycée. Ce groupe d’adolescents qui joue aussi bien ses propres compos de Funk et de Reggae, fait aussi quelques reprises de morceaux Rock aux cours de quelques concerts à Montpellier. Ces études la conduisent à quitter la ville, et à mettre la musique entre parenthèses pendant 2 ans. À son retour, elle réintègre la Sagrada Familia qui, quelques mois après, se produit à Barcelone. C’est au cours de ce voyage qu’elle rencontre Dj Sundae, qui commence à produire quelques morceaux et qui aimerait bien la voir chanter dessus. Leurs deux cultures musicales sont très proches, voire semblables, à l’exception peut-être de l’élément « musique Africaine », le projet The Sun Shipp naît très vite, et leur soul urbaine conquit de nombreux Montpelliérains, y compris le jury de la compilation Montpellier 2000, puis celui des jeunes talents du festival de Bourges où le groupe se produit en 2001. Un contrat est signé avec La Rosière records et leur premier Maxi paraît avec un remix de Meitz du sonar Kollektiv.
Au cours des années suivantes, leur notoriété grandit, et la chanteuse participe à d’autres projets : INFUSED, Clotaire K…Quand Ruth quitte Montpellier, ils décident de mettre le projet en attente et de se laisse le temps de participer à d’autres choses. Entre temps, elle aura rencontré Julien RAULET, guitariste du groupe d’afro beat Montpelliérain, Fanga. L’axe principal de cette rencontre est l’afro beat, et c’est dans cet esprit qu’ils commencent à faire des morceaux ensemble. Au cours de ses pérégrinations, Ruth rencontre les membres d’Antibalas, dignes héritiers de FELA ce qui renforce son envie de participer à la diffusion de cette musique. En outre, son désir de militantisme allant grandissant, il lui paraît évident que cette voie est la bonne.
Puis la vie leur permet de rencontrer Tony ALLEN qui, accepte avec la plus grande humilité, de participer à ce jeune projet, qui les guide et les met en contact avec Eric Trosset de Comet records, Label Parisien, bien connu pour son rôle joué dans la diffusion et le renouveau de l’afro beat. Le projet d’album naît assez vite, les morceaux après avoir étés composés par Julien Raulet et écrits par Ruth, prennent leur réelle dimension grâce au travail de de post-production et arrangements de Pierre Vandewaeter et Jean-Charles…
Le collectif AFROROKERZ est né. Le premier album : Holy Warriors sortira en mai 2007.
Ruth TAFEBE se produit tous les Samedis au mythique St Nick’s Pub de Harlem, pub qui reçoit régulièrement, de grands musiciens de jazz et participe depuis de nombreuses années à entretenir la magie musicale de New York.
Le militantisme est ma voie, la musique est ma meilleure amie.