Le label Underdog Records s'apprête à sortir en mai prochain un album inédit du mythique groupe jazzfunk Cortex.
Des extraits sont en écoute sur myspace
www.underdogrecords.fr
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La genèse de l'album par Alain Mion
Nous étions fatigués de toujours être limités dans le temps pour nos enregistrements.
J’avais acheté une grande ferme dans un super vieux hameau à côté de Seine Port en Seine et Marne (Michèle Torr était une voisine) et nous avons décidé d’y monter notre propre studio d’enregistrement. On a acheté le Scully 8 pistes de David Christie et une console Plus Trente, des enceintes JBL et Alain Gandolfi a fabriqué tout un tas de périphériques. On mixait sur Revox.
C’est là que nous avons enregistré les « Inédits », entre 2 commandes pour la pub ou pour les radios (c’est nous qui avions réalisé les indicatifs de Melun FM, une des premières locales de Radio France).
On écoutait de plus en plus la Soul jazzy américaine ( Earth Wind and Fire, Benson et Al Jarreau - que j’ai eu le plaisir de rencontrer plus tard sur un plateau TV avec Djavan) et aussi des groupes alors inconnus ici comme Parliament, Gap Band ou Graham Central Station.
Nous avons travaillé principalement à deux, sur ces enregistrements : je faisais toutes les voix, les claviers et les basses et Alain Gandolfi faisait les batteries et se chargeait de l’enregistrement.
J’en ai écrit toutes les musiques, les paroles et les arrangements pour lesquels j’ai utilisé mon Fender Rhodes bien sûr, le CP 70, un piano acoustique, un Solina String Ensemble (Arp), un Prophet, les Moog Prodigy et Micro, un Korg 700 S, un Clavinet D6 et un Elka.
Alain Gandolfi jouait sur une batterie « Orange ».
En 1982, Alain Gandolfi et moi avons décidé de nous séparer professionnellement : lui était de plus en plus intéressé par la prise de son et le son en général, et moi je pensais qu’il me fallait tourner une page, abandonner le Fender Rhodes pour revenir à ma première passion, le piano acoustique.
C’est en 1983 que j’ai recommencé une nouvelle carrière sous mon nom avec l’album Pheno-Men. Ensuite je suis parti aux USA puis j’ai joué sur différentes scènes dans le monde entier.
Alain Mion
J’avais acheté une grande ferme dans un super vieux hameau à côté de Seine Port en Seine et Marne (Michèle Torr était une voisine) et nous avons décidé d’y monter notre propre studio d’enregistrement. On a acheté le Scully 8 pistes de David Christie et une console Plus Trente, des enceintes JBL et Alain Gandolfi a fabriqué tout un tas de périphériques. On mixait sur Revox.
C’est là que nous avons enregistré les « Inédits », entre 2 commandes pour la pub ou pour les radios (c’est nous qui avions réalisé les indicatifs de Melun FM, une des premières locales de Radio France).
On écoutait de plus en plus la Soul jazzy américaine ( Earth Wind and Fire, Benson et Al Jarreau - que j’ai eu le plaisir de rencontrer plus tard sur un plateau TV avec Djavan) et aussi des groupes alors inconnus ici comme Parliament, Gap Band ou Graham Central Station.
Nous avons travaillé principalement à deux, sur ces enregistrements : je faisais toutes les voix, les claviers et les basses et Alain Gandolfi faisait les batteries et se chargeait de l’enregistrement.
J’en ai écrit toutes les musiques, les paroles et les arrangements pour lesquels j’ai utilisé mon Fender Rhodes bien sûr, le CP 70, un piano acoustique, un Solina String Ensemble (Arp), un Prophet, les Moog Prodigy et Micro, un Korg 700 S, un Clavinet D6 et un Elka.
Alain Gandolfi jouait sur une batterie « Orange ».
En 1982, Alain Gandolfi et moi avons décidé de nous séparer professionnellement : lui était de plus en plus intéressé par la prise de son et le son en général, et moi je pensais qu’il me fallait tourner une page, abandonner le Fender Rhodes pour revenir à ma première passion, le piano acoustique.
C’est en 1983 que j’ai recommencé une nouvelle carrière sous mon nom avec l’album Pheno-Men. Ensuite je suis parti aux USA puis j’ai joué sur différentes scènes dans le monde entier.
Alain Mion