L’intraitable paire Starks – Stubblefield a complètement passé sous silence le fait que le Godfather a eu un jour d’autres mains pour tenir les baguettes de son groove. Tony Cook par exemple.
Batteur sur Mutha’s Nature et sur Love Over-Due (pas si sur que ça en jette tant que ça sur un CV mais bon…) Tony inaugure la série des albums post 2006 « j’ai joué avec James Brown » et ramène pour le coup un illustre Mc en la présence de Danny Ray (« and now ladies and gentlemen, Mister Please Please Please himself, The Hardest etc… » Ce gars là).
Logiquement on est en droit d’attendre quelque chose de maitrisé, des années passées à jouer pour un tyran et à se prendre des ronflées à la moindre imperfection font prendre le pli de la rigueur rythmique et de la mise en place impeccable. Justement, on aura droit à ça et pas plus.
Présent derrière les fûts, aux percussions, aux claviers et au micro, la polyvalence du batteur s’affiche jusqu’à la production des titres mais, à frapper comme un métronome et à produire plus que nécessaire, Cook en oublie l’essentiel : insuffler un peu de vie dans son groove, emballer le rythme, tremper la chemise, montrer qui est le patron et faire se ranger tous les musiciens derrière sa batterie. Pour un album de batteur, c’est le minimum à mettre sur la liste des courses.
Il faudra pourtant se contenter d’un album frappé du mal incurable dont souffrent les anciens sidemen du Godfather (Fred Wesley excepté) lors de leurs albums solo : c’est funk (pas la peine de revenir là-dessus), ça joue (manquerait plus que non), c’est propre et léché comme un album de jazz.
Mais c’est plat comme l’électrocardiogramme de James le 25 décembre 2006.
Batteur sur Mutha’s Nature et sur Love Over-Due (pas si sur que ça en jette tant que ça sur un CV mais bon…) Tony inaugure la série des albums post 2006 « j’ai joué avec James Brown » et ramène pour le coup un illustre Mc en la présence de Danny Ray (« and now ladies and gentlemen, Mister Please Please Please himself, The Hardest etc… » Ce gars là).
Logiquement on est en droit d’attendre quelque chose de maitrisé, des années passées à jouer pour un tyran et à se prendre des ronflées à la moindre imperfection font prendre le pli de la rigueur rythmique et de la mise en place impeccable. Justement, on aura droit à ça et pas plus.
Présent derrière les fûts, aux percussions, aux claviers et au micro, la polyvalence du batteur s’affiche jusqu’à la production des titres mais, à frapper comme un métronome et à produire plus que nécessaire, Cook en oublie l’essentiel : insuffler un peu de vie dans son groove, emballer le rythme, tremper la chemise, montrer qui est le patron et faire se ranger tous les musiciens derrière sa batterie. Pour un album de batteur, c’est le minimum à mettre sur la liste des courses.
Il faudra pourtant se contenter d’un album frappé du mal incurable dont souffrent les anciens sidemen du Godfather (Fred Wesley excepté) lors de leurs albums solo : c’est funk (pas la peine de revenir là-dessus), ça joue (manquerait plus que non), c’est propre et léché comme un album de jazz.
Mais c’est plat comme l’électrocardiogramme de James le 25 décembre 2006.
En savoir plus :
L'album est en écoute sur www.iwelcom.tv/tonycook
LIENS
www.myspace.com/tonycookstrunkofunk
www.tonycookmusic.com
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