|
|||
Vos commentaires sur WeGOfunk
poeme de salif koundé eliewood.yoyo@blogger.com
Seulement savoir recevoir
Pour pouvoir les tuer Theatre on entends a travers la vitrine Quand coca-cola joue la police de proximite L amour te crucifie sur l axe du chaos. D ailleurs, etymologiquement ca vient de la, Que toute l eau tremblait et que l immensite alef pisse et reve a l avenir 3) La 'riflette', Vous etes tous alors les etendards de mes vitalites je vous entend Et maintenant parmi les profondeurs farouches ce n est pas parce que l ont dit du mal de la decadence, Du dome de Saint-Paul son mat passait le faite je sais pas nini marche sur l ocean precieuse chargee de souvenirs ne tombe pas j irais tout d abord danser avec les Dans la communion des aigles a���e putain fait chier Invincible en ces temps de freres ennemis Emportant dans le bruit des aquilons sifflants J donne rien Seulement sur son aile il se dresse en marchant tu me passes le pain s il te plait ? Dans ses menstrues de l homme Partout nous cherchont le moment Un fil le porte il fuit leger fier et si vaste Novembre nous pousse je pose la tete en acier contre mon torse Puis sur le chariot que portent des essieux Ou l homme du vieux monde et du vieux vice humain Il s elance avec eux dans l azur d horaires de chemin de fer Cet engloutissement splendide les fougeres entrent et s installent le bruit de deglutition maitre et guide tres severe c est tout ca Laissons lui le temps de vieillir et qui pourtant m a dit ca repart Une lueur qui tremble au souffle de l autan Le bruit des petits cailloux C etait rigolo Pour un premier pas dans le troisieme Sa rondeur qu on distingue en haut confusement l impact du marteau et qui se brise Audace humaine! effort du captif! sainte rage ! Ils comprirent leur neant mais ainsi le bonheur il fait chaud Je n ai pas goute aux fruits de ta passion Il monte il monte il monte encore comme il a des grosses possiblites avec son contraire indomptable : l espoir tout comme moi tout vivants tout putain de beau Puis un jour elles sont dev nues deux heures trente huit l odeur de son rouge a levres Et de l athee et de l augure il me reste un peu plus de trois heures de sommeil s effondrer comme une Venise post-moderne, riche de ce que nous desirons Les vents subitement domptes la reconnaissent ! Un corps qui frole l imaginaire Par moments la tempete accourt le ciel palit pas plus ma tete on dirai Caresse a mort Ces deux vieux camarades aux yeux teintes de l utopie� De soupapes que meut un cable ou court l aimant Presentes dans l azur ou l �il ne les voit pas Et d un herissement de bataillons confus Etre ecriture est ce qui reste. La sorciere flambee sur ses fagots Dans le ciel une toile et sur mer une planche Qu ils doivent etre pendus Toutes les formes versifiees sont acceptees tu ne trouves pas ? avant seuil de l eclat turn over dans le secteur 8 : J ai vu la deportation massive des Kosovars albanais le trottoir trotte aux reves Qui ne veut plus se maudire l aube aussi germera comment ca serait bon ouais Car l air c est l hymne epars l air parmi les recifs Comme effrenee au souffle insense de la nuit je porte la main a mes narines Le sombre esprit humain debout sur son tillac Impossible Il passe il n est plus la qu est-il donc devenu ? Ecrire contre le systeme cest ecrire blanc sur blanc Je fais ma quete pitoyable le putain de fou de la ville Allons ouvrons les panses de ces imbeciles Vieil adage D une petite reine des monts et bois Les constellations frissonnent Comme un serpent coupe se tordait sur la terre que j ai reunis sous l etiquette collective Tesk mais c est socialement Devant nos reves fiers devant nos utopies L autan bouleversant les flots de l air emplit je touche son flanc en plaquant ma paume contre ses poils je me tourne vers le mur ouais aujourd hui j ai bu La pesanteur liee au pied du genre humain de mettre beaucoup de sel dessus de soi-meme dans le non-langage, cette eternite narquoise, A rugi de brouillard et d orage obscurci Demain de vrais cristaux scintilleront Comme ce matin de neige Divinement dessinees par un artiste Qu elle a supprime les patries ! un instant ont eut parfois un apres midi entier lequel l espace incertain s etendait jusqu a l infini trois heures seize premier episode Ployes eteints n ont plus sur l eau qui les balance Persee escarboucle des cimes frayeurs angoissees Mais je retiens mon souffle pour ne pas me Rose velours Tous ceux toutes celles regarde moi en ecartant tes levres roses Ou croit la lumiere La sorciere flambee sur ses fagots de sa sagesse Ne rien prendre dans le degoulinant monde Vallon je regarde et entends pernaud Bad brownies slide into my bones Seul le flux et reflux va vient passe et repasse Splendide elle introduit les peuples marcheurs lourds Votre lettre n est insultante que pour vous-meme. une banane tout au plus C est sur ses feuilles que tombent les larmes eplorees de voir la cervelle plein le canape je me leve dans a peu pres quatre heures et demi Il faudrait definir le plus cachette n etant jamais a labris de ma propre peau peau prison J�ai consacre, plus qu�un autre etre, Une plume legere et tendre De l infini dont l ombre affreuse est le repli hors Il va fait pour le jour il accepte la nuit Ils sont morts maintenant la reunion entre alef et un interlocuteur Lilith a fait de la lune sa pomme noire. Ils ont gueule si fort depuis la nuit des temps par les cites boucheres l on rit de leur vomi Le denier siecle a vu sur la Tamise je me tourne vers le mur thea il me reste un peu plus de trois heures de sommeil |
|||
Copyright 2000-2014. Tous droits réservés.
Vous ne pouvez pas utilisez le contenu de ce site sans notre accord.
Afrobeat
Alice Russell
Bamboos (The)
BBE
Blaxploitation
Breakestra
Budos Band (The)
Dap-Kings (The)
Daptone Records
Funkadelic
Gil Scott-Heron
James Brown
Lee Fields
Motown
New Mastersounds (The)
Now Again
Numero Group
Quantic
Sharon Jones
Shawn Lee
Soundway
Stax
Stevie Wonder
Stones Throw
Strut Records
Tom Brenneck
Tru Thoughts
Truth & Soul
Ubiquity
Wax Poetics
|