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poeme de salif koundé

 eliewood.yoyo@blogger.com
Mardi 7 Février 2006

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Seulement savoir recevoir
Pour pouvoir les tuer
Theatre
on entends a travers la vitrine
Quand coca-cola joue la police de proximite
L amour te crucifie sur l axe du chaos.
D ailleurs, etymologiquement ca vient de la,
Que toute l eau tremblait et que l immensite
alef pisse et reve a l avenir
3) La 'riflette',
Vous etes tous alors les etendards de mes vitalites je vous entend
Et maintenant parmi les profondeurs farouches
ce n est pas parce que l ont dit du mal de la decadence,
Du dome de Saint-Paul son mat passait le faite
je sais pas
nini marche sur l ocean
precieuse chargee de souvenirs ne tombe pas
j irais tout d abord danser avec les
Dans la communion des aigles
a���e putain
fait chier
Invincible en ces temps de freres ennemis
Emportant dans le bruit des aquilons sifflants
J donne rien
Seulement sur son aile il se dresse en marchant
tu me passes le pain s il te plait ?
Dans ses menstrues de l homme
Partout nous cherchont le moment
Un fil le porte il fuit leger fier et si vaste
Novembre nous pousse
je pose la tete en acier contre mon torse
Puis sur le chariot que portent des essieux
Ou l homme du vieux monde et du vieux vice humain
Il s elance avec eux dans l azur
d horaires de chemin de fer
Cet engloutissement splendide
les fougeres entrent et s installent
le bruit de deglutition
maitre et guide tres severe
c est tout ca
Laissons lui le temps de vieillir
et qui pourtant m a dit
ca repart
Une lueur qui tremble au souffle de l autan
Le bruit des petits cailloux C etait rigolo
Pour un premier pas dans le troisieme
Sa rondeur qu on distingue en haut confusement
l impact du marteau et qui se brise
Audace humaine! effort du captif! sainte rage !
Ils comprirent leur neant mais ainsi le bonheur
il fait chaud
Je n ai pas goute aux fruits de ta passion
Il monte il monte il monte encore
comme il a des grosses possiblites
avec son contraire indomptable : l espoir
tout comme moi tout vivants tout putain de beau
Puis un jour elles sont dev nues
deux heures trente huit
l odeur de son rouge a levres
Et de l athee et de l augure
il me reste un peu plus de trois heures de sommeil
s effondrer comme une Venise post-moderne,
riche
de ce que nous desirons
Les vents subitement domptes la reconnaissent !
Un corps qui frole l imaginaire
Par moments la tempete accourt le ciel palit
pas plus
ma tete on dirai
Caresse a mort
Ces deux vieux camarades aux yeux teintes de l utopie�
De soupapes que meut un cable ou court l aimant
Presentes dans l azur ou l �il ne les voit pas
Et d un herissement de bataillons confus
Etre ecriture est ce qui reste.
La sorciere flambee sur ses fagots
Dans le ciel une toile et sur mer une planche
Qu ils doivent etre pendus
Toutes les formes versifiees sont acceptees
tu ne trouves pas ?
avant seuil de l eclat
turn over dans le secteur 8 :
J ai vu
la deportation massive des Kosovars albanais
le trottoir trotte aux reves
Qui ne veut plus se maudire
l aube aussi germera
comment ca serait bon ouais
Car l air c est l hymne epars l air parmi les recifs
Comme effrenee au souffle insense de la nuit
je porte la main a mes narines
Le sombre esprit humain debout sur son tillac
Impossible
Il passe il n est plus la qu est-il donc devenu ?
Ecrire contre le systeme cest ecrire blanc sur blanc
Je fais ma quete pitoyable
le putain de fou de la ville
Allons ouvrons les panses de ces imbeciles
Vieil adage
D une petite reine des monts et bois
Les constellations frissonnent
Comme un serpent coupe se tordait sur la terre
que j ai reunis sous l etiquette collective
Tesk mais c est socialement
Devant nos reves fiers devant nos utopies
L autan bouleversant les flots de l air emplit
je touche son flanc en plaquant ma paume contre ses poils
je me tourne vers le mur
ouais aujourd hui j ai bu
La pesanteur liee au pied du genre humain
de mettre beaucoup de sel dessus
de soi-meme dans le non-langage, cette eternite narquoise,
A rugi de brouillard et d orage obscurci
Demain de vrais cristaux scintilleront
Comme ce matin de neige
Divinement dessinees par un artiste
Qu elle a supprime les patries !
un instant
ont eut parfois un apres midi entier
lequel l espace incertain s etendait jusqu a l infini
trois heures seize
premier episode
Ployes eteints n ont plus sur l eau qui les balance
Persee escarboucle des cimes
frayeurs angoissees Mais je retiens mon souffle pour ne pas me
Rose velours
Tous ceux toutes celles
regarde moi en ecartant tes levres roses
Ou croit la lumiere
La sorciere flambee sur ses fagots
de sa sagesse
Ne rien prendre
dans le degoulinant monde
Vallon
je regarde et entends pernaud
Bad brownies slide into my bones
Seul le flux et reflux va vient passe et repasse
Splendide elle introduit les peuples marcheurs lourds
Votre lettre n est insultante que pour vous-meme.
une banane tout au plus
C est sur ses feuilles que tombent les larmes eplorees
de voir la cervelle plein le canape
je me leve dans a peu pres quatre heures et demi
Il faudrait definir le plus
cachette n etant jamais a labris de ma propre peau peau prison
J�ai consacre, plus qu�un autre etre,
Une plume legere et tendre
De l infini dont l ombre affreuse est le repli
hors
Il va fait pour le jour il accepte la nuit
Ils sont morts maintenant
la reunion entre alef et un interlocuteur
Lilith a fait de la lune sa pomme noire.
Ils ont gueule si fort depuis la nuit des temps
par les cites boucheres
l on rit de leur vomi
Le denier siecle a vu sur la Tamise
je me tourne vers le mur
thea
il me reste un peu plus de trois heures de sommeil