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Disquaire indépendant depuis 1996 situé au 40, rue des fontaines, 60600 Clermont de l'oise
RECORDS
Une phrase que je dis parfois ici..
Comme quoi il m’apparaît souvent inutile de chercher quelconque diamant dans ce qui sort aujourd’hui, quand on sait que l’on n’aura déjà pas assez de trois vies pour découvrir tout ce qui c’est fait d’extraordinaire depuis ces cinquante dernières années…
On peut méditer avec circonspection…, surtout lorsque l’on apprend plus loin que je me sers de cette introduction pour encenser une nouvelle fois un cd sorti en 1999.
Rien de bien paradoxal ici en fait, car celui-ci recense encore des compositions allant de 1966 à 1974.
J’adore les compilations quand elles sont faites avec autant de soin, comme ça, non pas chronologiquement, mais dans le souci de scénariser une découverte…
À la première seconde, au volant de votre voiture, vous imaginerez votre vie telle la première prise d’un film d’1h et 5 mn…
Tout y passera ; de l’intro, avec ce morceau de 2,41 mn ou ce saxophone saura donner une couleur méditative à ces rues que vous traverserez, ces feux de signalisation apparaissant là comme pour ponctuer chaque transitions d’un morceau à l’autre... et il n’est pas impossible que vous prolongiez votre route arrivé à deux pas chez vous, ne serait ce que pour faire perdurer la magie qui se sera opérée une nouvelle fois entre vous et ce disque que je vous aurai conseillé..
Vingt titres exceptionnels, issus de Bo italiennes encore, exécutées par quelques uns des plus grands compositeurs de l’époque, au service ici des scenarios les plus décalés, mettant en scène des femmes sous l’emprise d’esprits maléfiques, des hommes aux mœurs troublants…
Mais ne vous méprenez pas, il ne s’agit pas ici seulement de courses poursuites et d’arrestations sommaire, mais également de moment ou le sublime est à son plus haut niveau… Voyez justement comment la musique de Bruno Nicolai vient à point nommé maintenant pour apaiser ce tourbillon avec « Sguardi Teneri », c’est tout à fait exceptionnel..
Suivi immédiatement derrière par l’un des titres que j’affectionne le plus ici « « La Foresta Incantata » , de Piero Umiliani ; titre époustouflant de maitrise orchestrale ,composé en 1969.
Je vous somme de découvrir tout ces chef d’œuvres le plus tôt possible ; la vie est si courte, la votre est précieuse, soignez la, offrez lui ce scénario, et ne me dites pas que vous n’étiez pas dans ce film d’une heure et cinq minutes, je ne vous croirai pas, je vous ai aperçu..
Comme quoi il m’apparaît souvent inutile de chercher quelconque diamant dans ce qui sort aujourd’hui, quand on sait que l’on n’aura déjà pas assez de trois vies pour découvrir tout ce qui c’est fait d’extraordinaire depuis ces cinquante dernières années…
On peut méditer avec circonspection…, surtout lorsque l’on apprend plus loin que je me sers de cette introduction pour encenser une nouvelle fois un cd sorti en 1999.
Rien de bien paradoxal ici en fait, car celui-ci recense encore des compositions allant de 1966 à 1974.
J’adore les compilations quand elles sont faites avec autant de soin, comme ça, non pas chronologiquement, mais dans le souci de scénariser une découverte…
À la première seconde, au volant de votre voiture, vous imaginerez votre vie telle la première prise d’un film d’1h et 5 mn…
Tout y passera ; de l’intro, avec ce morceau de 2,41 mn ou ce saxophone saura donner une couleur méditative à ces rues que vous traverserez, ces feux de signalisation apparaissant là comme pour ponctuer chaque transitions d’un morceau à l’autre... et il n’est pas impossible que vous prolongiez votre route arrivé à deux pas chez vous, ne serait ce que pour faire perdurer la magie qui se sera opérée une nouvelle fois entre vous et ce disque que je vous aurai conseillé..
Vingt titres exceptionnels, issus de Bo italiennes encore, exécutées par quelques uns des plus grands compositeurs de l’époque, au service ici des scenarios les plus décalés, mettant en scène des femmes sous l’emprise d’esprits maléfiques, des hommes aux mœurs troublants…
Mais ne vous méprenez pas, il ne s’agit pas ici seulement de courses poursuites et d’arrestations sommaire, mais également de moment ou le sublime est à son plus haut niveau… Voyez justement comment la musique de Bruno Nicolai vient à point nommé maintenant pour apaiser ce tourbillon avec « Sguardi Teneri », c’est tout à fait exceptionnel..
Suivi immédiatement derrière par l’un des titres que j’affectionne le plus ici « « La Foresta Incantata » , de Piero Umiliani ; titre époustouflant de maitrise orchestrale ,composé en 1969.
Je vous somme de découvrir tout ces chef d’œuvres le plus tôt possible ; la vie est si courte, la votre est précieuse, soignez la, offrez lui ce scénario, et ne me dites pas que vous n’étiez pas dans ce film d’une heure et cinq minutes, je ne vous croirai pas, je vous ai aperçu..
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