Quel est l'historique du groupe ?
Kiala : C'est une grande histoire. Pour le passé, les Ghetto Blaster se sont formés à Lagos en 1983 et puis nous sommes montés à Paris dans la même année jusqu'à 88, j'ai arrêté pour un petit break personnel et il y avait des problèmes à régler avec les musiciens, et puis on a repris, je sais plus ? Ça fait 2 ans maintenant...?
Frankie : 2 ans à tout casser.
Myriam : En 1998 le festival en Hollande réalisé par Oko Dramé qui a fait pas mal de choses pour la musique africaine. Et c'est là que ça a redémarré.
Frankie : 2 ans à tout casser.
Myriam : En 1998 le festival en Hollande réalisé par Oko Dramé qui a fait pas mal de choses pour la musique africaine. Et c'est là que ça a redémarré.
Quelle est la raison du come back des GHETTO BLASTER ?
Crédit photo : Port du casque obligatoire
Myriam : C'est déjà grâce à Oko Dramé, qui a toujours été quelqu'un de très fidèle et qui a toujours organisé des concerts, en Hollande, depuis 1983. C'est la première personne qui nous a invité à l'époque. Et il a toujours pris des nouvelles de chacun de nous, savoir comment ça allait, il a su que Kiala avait travaillé sur un album personnel donc il a eu envie de l'écouter et de l'inviter et c'est à ce moment là que Kiala nous a appelé, nous a dit : " Bon ben voilà y'a Oko, justement qui n'est pas mort (rires), qui nous invite " et donc on est parti faire ce concert sans savoir ce qui allait se passer après.
D'après la légende, vous étiez le premier groupe à jouer de l'Afro beat en Europe ?
Kiala : Tu sais beaucoup de gens ne comprennent pas l'afro beat. Toute la musique africaine est " afro beat ". Moi j'étais avec Fela, quand je l'ai quitté je ne jouais pas le même style d'afro beat, mais d'une autre manière mais c'est toujours de l'afro beat. Mais on était pas les premiers car avant qu'on vienne ici il y avait les Touré Kounda et pas mal de groupes.
Je parle plutôt des GHETTO BLASTER associé au style musical qui les à fait connaître, l'Afro Beat ?
Myriam : L'afro beat associé au Nigeria avec ses tendances ?
Frankie : Fela avait déjà joué en Europe, il tournait déjà en Angleterre dans d'autres pays, même Sony Okosso, Sunny Ade…
Kiala : Peut être que tu as raison de dire premier groupe parce que quand nous sommes venus ici par rapport à d'autres groupes, comme groupe "afro beat" dès 1983
Frankie : Fela avait déjà joué en Europe, il tournait déjà en Angleterre dans d'autres pays, même Sony Okosso, Sunny Ade…
Kiala : Peut être que tu as raison de dire premier groupe parce que quand nous sommes venus ici par rapport à d'autres groupes, comme groupe "afro beat" dès 1983
Avec la mention Afro Beat !
Kiala : Oui voilà avec la mention Afro beat.
Quel est le motif de la séparation du groupe originel ?
Kiala : Ce n'était pas vraiment une séparation. En 88, Chacun a fait une pause, pensait et faisait autre chose, en même temps le groupe existait. Mais après, comme Myriam l'a dit, j'ai fait mon album solo, je ne voulais pas perdre cette formation. Même pendant mes enregistrements en solo, je faisais en sorte que l'on soit là. Mais on a perdu deux personnes dans le groupe : Betty AYABA la vocalise(ndlr : Elle s'est noyé dans la seine lors de son séjour Parisien) et Willy N'FOR bassiste et leader vocal. Les autres membres du groupe étaient : Ringo le batteur, Udoh Essiet le percussionniste, Stéphan BLAES le guitariste. Ils ne sont plus dans la formation mais font partie de la famille des " GHETTO ". Quand Oko m'a invité, il m'a dit : " Kiala, il faut que tu nous fasses du Ghetto ! ". Pour la nouvelle composition du groupe, on a décidé de rester à trois : Myriam Betty (ndlr: Choriste de la première formation) et Frankie Dosan ( clavier de la première formation) et moi-même.
Quand on dit afro-beat on pense Fela, Quand on vous présente on dit, Ex-musicien de Fela, c'est par pure promo, le revendiquer vous ou ça vous irrites ?
Frankie : Un jour ça finira bien ! Il fallait bien que les gens aient une base où nous placer!
Myriam : Ils s'identifient mieux, les gens on toujours besoin d'une identité, Fela c'est tout de suite clair. Et en plus ce n'est pas faux Kiala a travaillé pour lui, donc il y a une réalité
Kiala : Le batteur et le percussionniste étaient aussi avec Fela. Mais il faut que les gens viennent nous voir, ils vont voir la différence avec toujours l'esprit afro-beat.
Myriam : Ils s'identifient mieux, les gens on toujours besoin d'une identité, Fela c'est tout de suite clair. Et en plus ce n'est pas faux Kiala a travaillé pour lui, donc il y a une réalité
Kiala : Le batteur et le percussionniste étaient aussi avec Fela. Mais il faut que les gens viennent nous voir, ils vont voir la différence avec toujours l'esprit afro-beat.
C'est pour la promo du groupe ?
Myriam : Par pure promo ? Non, lorsque que l'on se présente, on ne dit pas " on est des anciens musiciens de Fela " moi personnellement je ne l'ai jamais été, je dis plutôt que je viens du groupe Ghetto Blaster. C'est ceux qui parlent de nous qui ont besoin de dire ça. Si on me dit que ça va ramener de monde, je n'y crois pas.
Quel était le message de People, l'album sorti en 1986 ?
Pochette : Jean-François RAULT
Frankie : Dans nos textes nous disons ce qui se passe! C'est un message pour l'humanité; on dit " Afrique, Afrique, Afrique, mettez l'œil vers l'Afrique, n'oubliez pas l'Afrique, suivez tout ce qui se passe là-bas, mais en même temps quand l'Afrique sera bien, le monde le sera aussi ".
Myriam : Kiala a un morceau qui s'appelle " New Générations " qui amène à penser, un peu à ce qui se passe dans le futur qui est pour moi un morceau qui est toujours d'actualité, parce que l'Afrique a toujours besoin de ce genre de message car elle saigne, elle souffre énormément. Ce titre parle des droits de l'homme, de la liberté d'expression. Cà c'est le message des Ghetto Blaster dans son entité : Revendiquer l'injustice, ne pas avoir peur d'en parler et c'est là que je pourrai parler de Fela... Sans se faire de promo!!!! (Rires).
Kiala : Toujours les mêmes problèmes dans le monde, on parle beaucoup de la réalité. Pour reprendre Myriam sur le morceau qu'elle a énoncé, je dis " What we can do to stop this problems on this war / Qu'est ce que l'on va faire pour arrêter ces problèmes sur cette guerre " je crois qu'il faut, d'abord, oublier ce monde qui était raciste parce que aujourd'hui c'est le monde de la nouvelle génération. De nos jours quand je marche à Paris, je vois les blancs, les noirs, les rouges qui sont tous ensemble, font des enfants. Des choses pareilles il faut les dire et les montrer à tous ces gens qui ont des mentalités des années 1900.
Myriam : Kiala a un morceau qui s'appelle " New Générations " qui amène à penser, un peu à ce qui se passe dans le futur qui est pour moi un morceau qui est toujours d'actualité, parce que l'Afrique a toujours besoin de ce genre de message car elle saigne, elle souffre énormément. Ce titre parle des droits de l'homme, de la liberté d'expression. Cà c'est le message des Ghetto Blaster dans son entité : Revendiquer l'injustice, ne pas avoir peur d'en parler et c'est là que je pourrai parler de Fela... Sans se faire de promo!!!! (Rires).
Kiala : Toujours les mêmes problèmes dans le monde, on parle beaucoup de la réalité. Pour reprendre Myriam sur le morceau qu'elle a énoncé, je dis " What we can do to stop this problems on this war / Qu'est ce que l'on va faire pour arrêter ces problèmes sur cette guerre " je crois qu'il faut, d'abord, oublier ce monde qui était raciste parce que aujourd'hui c'est le monde de la nouvelle génération. De nos jours quand je marche à Paris, je vois les blancs, les noirs, les rouges qui sont tous ensemble, font des enfants. Des choses pareilles il faut les dire et les montrer à tous ces gens qui ont des mentalités des années 1900.
Le 1er titre de l'album est très accrocheur, que signifie Na Waya ?
Frankie : " Na waya " ça veut dire : " C'est trop ", pour t'expliquer je vais te donner quelques paroles de cette chanson : " Même ton meilleur ami peut être ton ennemi et un jour tu peux découvrir que ton ennemi peut devenir ton meilleur ami " les choses sont tellement en dessus dessous que c'est trop.
Est ce des productions ou des reprises sur cet album ?
Kiala : Ce sont que des productions.
Frankie : Oui ce sont que des productions 100% Ghetto Blaster
Frankie : Oui ce sont que des productions 100% Ghetto Blaster
Vous avez un album prévu pour 2002, quel sera le style: afro-beat ou une nouvelle tendance ?
Kiala : On restera afro sur album, c'est un afro beat underground qui boue.
Vous avez fait la première partie de James Brown, alors cette rencontre avec the Godfather of Soul?
Frankie : Oui à Antibes en 1984……
Myriam : Jazz Antibes.
Frankie : C'était bien, mais quand même difficile. La négociation pour la première partie du concert était assez difficile.
Myriam : C'est le papa du funk, il est assez exigeant, il y a eu pas mal de négociations puis il a été séduit d'autant plus que ce concert s'est terminé où il nous a regardé jusqu'à la dernière note, nous avions le droit de monter sur scène pendant son show, on a fini le concert ensemble alors que c'est une Star. On avait pas le droit d'aller le voir pour lui parler, avant le concert. Déjà il a été très sympa parce qu'on n'a pas fait une première partie de une demi heure ou trois quart d'heure, mais un bon concert d'une heure et demi.
Frankie : Il nous avait effectivement donné trente minutes.
Myriam : Mais lui il a joué trois heures !!!!! (rires) puis à notre grande surprise on s'est aperçu qu'il avait quelqu'un qui nous observait en back stage et c'était lui. A la fin du concert c'est " On est ensemble : on parle, on rigole, s'éclate, le champagne et tout le reste". Il n'y avait plus d'interdit, la barrière entre James Brown et nous était tombé, il était vraiment heureux.
Myriam : Jazz Antibes.
Frankie : C'était bien, mais quand même difficile. La négociation pour la première partie du concert était assez difficile.
Myriam : C'est le papa du funk, il est assez exigeant, il y a eu pas mal de négociations puis il a été séduit d'autant plus que ce concert s'est terminé où il nous a regardé jusqu'à la dernière note, nous avions le droit de monter sur scène pendant son show, on a fini le concert ensemble alors que c'est une Star. On avait pas le droit d'aller le voir pour lui parler, avant le concert. Déjà il a été très sympa parce qu'on n'a pas fait une première partie de une demi heure ou trois quart d'heure, mais un bon concert d'une heure et demi.
Frankie : Il nous avait effectivement donné trente minutes.
Myriam : Mais lui il a joué trois heures !!!!! (rires) puis à notre grande surprise on s'est aperçu qu'il avait quelqu'un qui nous observait en back stage et c'était lui. A la fin du concert c'est " On est ensemble : on parle, on rigole, s'éclate, le champagne et tout le reste". Il n'y avait plus d'interdit, la barrière entre James Brown et nous était tombé, il était vraiment heureux.
Et le public ?
Myriam :Ah ! Le public ! ! ! (rires) Envoûté.
Kiala : Depuis que nous sommes venus en France partout où on joue pour le public. Comme un bon footballeur qui joue pour son équipe, la balle au pied en allant droit au but. Nous faisons toujours bouger les gens car c'est notre " but " premier.
Kiala : Depuis que nous sommes venus en France partout où on joue pour le public. Comme un bon footballeur qui joue pour son équipe, la balle au pied en allant droit au but. Nous faisons toujours bouger les gens car c'est notre " but " premier.
Vous considérez vous comme un groupe de scène ?
Kiala : Nous sommes un groupe de scène on peut aussi jouer en studio, mais on préfère le LIVE.
Frankie : On aime la scène, on a passé des années sur scène.
Myriam : Et encore pour des années...
Frankie : On aime la scène, on a passé des années sur scène.
Myriam : Et encore pour des années...
François ( Follow Me records), comment as tu découvert les Ghetto Blaster ?
François : C'est Fra du LATINA CAFE, qui est un ami et qui nous a appelé un jour pour nous dire de venir voir Ghetto Blaster qu'il ne fallait pas que l'on rate ça. Heureusement, je les ai vus sur scène après on a pris contact avec eux, commencé à discuter, voir ce que l'on pourrait faire ensemble. On démarre avec une réédition du vinyl, ce premier Concert au Glaz'art ( ndlr : Le 23 novembre 2001), il faut que ça s'accélère. Chercher du Live, d'autres dates et surtout l'année prochaine, comme on s'est dit, pouvoir rentrer en studio pour mettre sur des bandes tout ce qu'ils font sur scène pour sortir un album. Ils le méritent.
Que Follow me records vienne à votre rencontre ça vous a surpris ?
Myriam : Le contact s'est bien passé, on s'est rendu compte qu'ils travaillaient bien. C'était important pour nous, que des gens comprennent le live, ce qu'on attend d'une maison de disques qui veut s'occuper de nous. A partir du moment qu'ils ont compris que l'on veut faire ce que l'on aime et d'être respecté pour ça. Les gros labels on a déjà donné. Apparemment ils nous ont donné des preuves car on s'est rencontré en mai dernier et à ce jour ils ont déjà sorti la réédition de l'album. Il y a de l'énergie de leur part nous avons également de l'énergie donc à chaque fois que l'on se voit les choses vont vite et on sait qu'ils nous apprécient, qu'il y a un respect, c'est un beau cadeau pour nous.
Frankie : Je suis très content de cette rencontre, à chaque fois que l'on se voit c'est un pas en avant sur des décisions, sur le futur
Frankie : Je suis très content de cette rencontre, à chaque fois que l'on se voit c'est un pas en avant sur des décisions, sur le futur
Avez vous prévu un album live ?
Myriam : C'est l'idéal, personnellement j'ai toujours penser ça dans ma vie faire de la scène et faire un album, justement, de scène. Parce que c'est la nature, c'est la vérité.
Kiala : L'album que nous allons faire avec Follow me sera live mais en studio…
Kiala : L'album que nous allons faire avec Follow me sera live mais en studio…
Je parlais plutôt d'un live avec le public car vous êtes un groupe de scène !
Kiala : Avec le public, c'est le rêve de tous les musiciens, mais ce n'est pas de notre ressort. c'est la structure qui s'occupe de nous qui prendra cette décision. Le LIVE demande beaucoup d'argent car le matériel qui doit servir à la réalisation doit être de qualité.
Frankie : Peut être que Follow me répondra mieux à cette question !
François : Je suis assez d'accord avec Kiala quand il dit ce qui va être pris en studio ça va être du live quelque part, ce n'est pas une musique que l'on peut jouer instrument par instrument, à retravailler. Il faut garder ce coté vivant sinon ça va être trop propre si c'est pour faire quelque chose de totalement épuré, de très clean ce n'est pas la peine. A chaque fois que je les voit en concert, je me dis on pourrait enregistré et il y a quelque chose qui va ressortir. Ca ne sera pas forcément bon mais il n'y pratiquement rien à jeter. Quoi qu'il en soit ce qui sera enregistré en studio ça sera avec cette touche de live ! Et après pourquoi pas faire un enregistrement public dans une salle qui a les moyens techniques de le faire.
Frankie : Peut être que Follow me répondra mieux à cette question !
François : Je suis assez d'accord avec Kiala quand il dit ce qui va être pris en studio ça va être du live quelque part, ce n'est pas une musique que l'on peut jouer instrument par instrument, à retravailler. Il faut garder ce coté vivant sinon ça va être trop propre si c'est pour faire quelque chose de totalement épuré, de très clean ce n'est pas la peine. A chaque fois que je les voit en concert, je me dis on pourrait enregistré et il y a quelque chose qui va ressortir. Ca ne sera pas forcément bon mais il n'y pratiquement rien à jeter. Quoi qu'il en soit ce qui sera enregistré en studio ça sera avec cette touche de live ! Et après pourquoi pas faire un enregistrement public dans une salle qui a les moyens techniques de le faire.
L'album People a déjà une connotation très live !
Kiala : C'était au studio Marcadet, le producteur, à l'époque, a emmené le matériel adéquat pour un enregistrement live et sur cet album c'est un travail de cinq jours avec le mix, pas un mois mais cinq jours !
Frankie : Comme un concert...
Frankie : Comme un concert...
Si vous deviez définir l'afro beat par un instrument, lequel serait-ce ?
Kiala : Pour moi c'est les percus, c'est ça l'afro beat (ndlr : en faisant le bruit des percussions)
Myriam : Pour moi aussi c'est aussi les percus qui sont la base c'est de là que tu peux t'envoler. Ce qui fait que le message passe tout de suite, tu pourrais mettre ce groove sans guitares, sans rien tu as déjà les gens qui n'arrivent pas à se retenir.
Kiala : En deuxième, le piano.
Myriam : Il y a la basse qui est très importante, qui est très liée aux deux guitares. Tu ne peux pas passer outre.
Myriam : Pour moi aussi c'est aussi les percus qui sont la base c'est de là que tu peux t'envoler. Ce qui fait que le message passe tout de suite, tu pourrais mettre ce groove sans guitares, sans rien tu as déjà les gens qui n'arrivent pas à se retenir.
Kiala : En deuxième, le piano.
Myriam : Il y a la basse qui est très importante, qui est très liée aux deux guitares. Tu ne peux pas passer outre.
La dernière question ! Sur Funky People nous avons l'habitude de demander dix que sauverais un Dj, pour les Ghetto Blaster ça sera trois albums chacun, les quels garderez vous ?
Kiala : Parliament, Maceo parker, Fela
Myriam : Honnêtement je ne pourrai pas te dire grand chose il y a tellement de gens. Pur moi ça peux aller de la musique brésilienne à la fusion, Bon ça sera Jimmi Hendrix c'est quelqu'un qui a marqué son temps et encore pour très longtemps.
Frankie : Bonne question !! Nelle Eyoum, un ancien chanteur originaire du Cameroun, Ebanda Manfred et Villa Vienne toujours des anciens, des interprètes que j'écoutais quand j'étais petit, puis Fela
François : Le prochain album des Ghetto Blaster, celui là fera l'unanimité.
Kiala : Une dernière chose pour tous les gens qui nous connaissent, revenez nous voir encore, car nous sommes revenus avec une autre force, les Ghetto d'aujourd'hui ont encore plus de force n'hésitez pas à venir…..
Myriam : Moi je dirais aux gens que si ils ont l'espoir que cette musique puisse subsister quelqu'en soit tous ce qu'on peut leur matraquer sur les radios, il faut venir la voir, parce que, justement, ils ont la chance de l'approcher, elle est là à coté de chez eux..
Frankie : Les Ghetto Blaster sont de retour et là sur funky-people
Myriam : Honnêtement je ne pourrai pas te dire grand chose il y a tellement de gens. Pur moi ça peux aller de la musique brésilienne à la fusion, Bon ça sera Jimmi Hendrix c'est quelqu'un qui a marqué son temps et encore pour très longtemps.
Frankie : Bonne question !! Nelle Eyoum, un ancien chanteur originaire du Cameroun, Ebanda Manfred et Villa Vienne toujours des anciens, des interprètes que j'écoutais quand j'étais petit, puis Fela
François : Le prochain album des Ghetto Blaster, celui là fera l'unanimité.
Kiala : Une dernière chose pour tous les gens qui nous connaissent, revenez nous voir encore, car nous sommes revenus avec une autre force, les Ghetto d'aujourd'hui ont encore plus de force n'hésitez pas à venir…..
Myriam : Moi je dirais aux gens que si ils ont l'espoir que cette musique puisse subsister quelqu'en soit tous ce qu'on peut leur matraquer sur les radios, il faut venir la voir, parce que, justement, ils ont la chance de l'approcher, elle est là à coté de chez eux..
Frankie : Les Ghetto Blaster sont de retour et là sur funky-people
Photos : Concert au Cithéa le 1er décembre2001 by Fredafunkysoul
Propos recueillis en décembre 2001
Follow Me Records
Plus d'infos sur leur site, Ghetto Blaster
Propos recueillis en décembre 2001
Follow Me Records
Plus d'infos sur leur site, Ghetto Blaster