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Disquaire indépendant depuis 1996 situé au 40, rue des fontaines, 60600 Clermont de l'oise
CONCERTS
Je ne le l’imaginais pas autrement ce concert
Energique et généreux, juste et lumineux..
Je reflechissais à ça hier…En, fait Paul Weller est le type avec lequel j’ai grandi, il m’a accompagné plus de vingt ans, comme la seule reference vivante encore aujourd’hui, et le revoir comme ça, inchangé, toujours aussi passionné et déterminé est un enchantement…
Paul arrive en polo noir, pantalon de toile gris bien repassé, très belle mine, heureux de retrouver un public qu’il avait délaissé depuis dix ans….
« It’s been a long time isn’t it ? » seront ces premiers mots..
Quelque chose d’imperceptible me dit qu’il doit s’en vouloir un peu.
S’il y a quelque chose qui le caractérise, c’est cette honnêteté dans le regard, mêlé d’une générosité qui permet au plus observateurs d’entre nous de lire au travers de cet icône, le rendant ainsi accessible à tous.
En somme, je ne fait que décrire ce que chacun perçois, à des degrés divers..
Et quand bien même fut il possible que certains spectateurs le voyaient hier pour la première fois, qu’ils ne peuvent avoir ressenti autre chose, c’est impossible..
On ne vient pas assister à l’un de ces concert par hasard, on est, ou fan de la première heure des Jam, ou de la génération 80 avec ce penchant jazzy du Style Council, ou tombé à la renverse à l’écoute de l’un de ces nombreux disque qu’il signe dorénavant de son nom, ou plus simplement venu sur le conseil très avisé d’un proche qui aura su vous convaincre d’assister enfin à un show des plus authentique…
Dans tout les cas, on a affaire à une musique sensible et humaine, et malgré ce que peuvent en avoir dit certains, sans compromissions aucunes à mes yeux..
Vous l’aurez probablement compris maintenant, mon adulation m’interdit toute objectivité, je scande haut et fort toute mon admiration pour le dernier artiste qu’il me reste à vénérer dans ce domaine…
Quel sera la chanson qui va suivre, comment va-t-il l’interpréter seront pour ma part les seules questions qui m’habitaient hier, car trouver une réponse à la raison de la staticité du public, il vaut mieux l’oublier..
Il aura revisité 40 ans de carrière, nous a sonné avec un « Art School » énorme, digne d’un show à la BBC de 78, d’un « Shout to the top » très soul, vous en voulez d’autres ? : « Start » et Scrape Away » issus de « Sound Affect » que j’adore… « Widwood », et bien d’autres dont ces deux titres issus de son dernier opus : « Wake up the Nation », le « Fats Car-Slow Traffic » bien Londonnien , une vraie messe pour nous autre aficionados dont j’observais le visage illuminé.. Vinrent également « Strange town », et cette session acoustique magnifique pour entamer le « Brand New Start »
Je revivais à l’instant ce fabuleux concert en écrivant ces lignes, tout en cherchant un ton passionné pouvant retranscrire mon émotion, esperant trouver une formule qui conviendrait au mieux…
De formule il n’en existe qu’une à mes yeux : Paul Weller est de la race des seigneurs, de ceux qui ne vous décevront jamais.
Au regard de la longévité de sa carrière, des virages qui se sont opérés, des risques encourus jusqu’à l’avènement mérité enfin, je ne voie aucun parallèle existant , Paul Weller est une légende vivante, je l’ai vu de mes yeux pour la troisième fois, elle existe vraiment…
*****************************************
I did not imagine it any other way this energetic and generous, fair/just and a bright concert.. I was... Afficher davantage thinking of that yesterday, In fact Paul Weller is someone with whom I grew up with, he's accompanied me for more than twenty years, a living testament even today, and to see him again like that, unchanged, Still as passionate and determined was truly enchanting. Paul arrived on stage in a black polo shirt, well pressed grey cotton trousers, slightly tanned, happy to find a public whom he had not seen (abandoned, *not nice*)for ten years.“It’s been a long time hasn’t it” were his first words. Something indiscernible says to me that he feels remorseful, somewhat guilty. If there is something that characterizes it, It is the honesty and integrity in his expression, blended by a generosity which allows us onlookers/observers to see through this icon, making him more approachable and accessible to all of us. All in all it is only me representing what each of us perceived, at different levels And even if it was possible that certain Members of the audience saw him for the first time yesterday, it would be impossible for them not to have been moved, we do not come to watch and participant in one of his concerts by mistake or accidentally we are here as fans from even the earliest days of the Jam, or from the 80’s generation of the jazzy beat of the Style Council, or any of the other numerous records that bear his name, or more simply on the educated advice of a friend who has convinced you to attend one of the most authentic concerts possible, In any case, we are dealing with a sensitive and humanistic music, and in spite of what certain people say, there are no compromises in my eyes. You have probably now understood, my adulation deprives me of any objectivity, I have looked long and hard at my admiration for the last artist whom I have to venerate in this domain. Which will be the following song, how is he going to interpret it , for me these were the only questions going through my mind yesterday, because to find an answer to the reason of the electricity in the crowd, probably better to forget it..
It will have re-visited 40 years of his career, rang us with huge anthems "Art School" enormous, worthy of a show on the BBC in 78, the one and only " Shout to the top " very soul, you want others?: "Starting" and Scrape Away » and « Sound Affect » that I love « Widwood », and many others among which these two existent titles of his last opus: « Wake up the Nation », " Fats Car-Slow dance Traffic » really London, a true mass for all us aficionados. Also comes « Strange town », and his splendid acoustical session to start " Brand New Start » i relived this wonderful concert in an instant by writing these lines, while searching for a passionate tone that could transcribe my emotions, hoping to find an expression which would suit at best …
The formula, there is only one in my eyes: Paul Weller is from the “race of the lords”, those which will never disappoint you.
In comparison with the longevity of his career, turns which took place, of the risks incurred until the finally deserved advent, I do not see any existing parallel, Paul Weller is a living legend, I saw it with my own eyes for the third time yesterday, it really exists…
Energique et généreux, juste et lumineux..
Je reflechissais à ça hier…En, fait Paul Weller est le type avec lequel j’ai grandi, il m’a accompagné plus de vingt ans, comme la seule reference vivante encore aujourd’hui, et le revoir comme ça, inchangé, toujours aussi passionné et déterminé est un enchantement…
Paul arrive en polo noir, pantalon de toile gris bien repassé, très belle mine, heureux de retrouver un public qu’il avait délaissé depuis dix ans….
« It’s been a long time isn’t it ? » seront ces premiers mots..
Quelque chose d’imperceptible me dit qu’il doit s’en vouloir un peu.
S’il y a quelque chose qui le caractérise, c’est cette honnêteté dans le regard, mêlé d’une générosité qui permet au plus observateurs d’entre nous de lire au travers de cet icône, le rendant ainsi accessible à tous.
En somme, je ne fait que décrire ce que chacun perçois, à des degrés divers..
Et quand bien même fut il possible que certains spectateurs le voyaient hier pour la première fois, qu’ils ne peuvent avoir ressenti autre chose, c’est impossible..
On ne vient pas assister à l’un de ces concert par hasard, on est, ou fan de la première heure des Jam, ou de la génération 80 avec ce penchant jazzy du Style Council, ou tombé à la renverse à l’écoute de l’un de ces nombreux disque qu’il signe dorénavant de son nom, ou plus simplement venu sur le conseil très avisé d’un proche qui aura su vous convaincre d’assister enfin à un show des plus authentique…
Dans tout les cas, on a affaire à une musique sensible et humaine, et malgré ce que peuvent en avoir dit certains, sans compromissions aucunes à mes yeux..
Vous l’aurez probablement compris maintenant, mon adulation m’interdit toute objectivité, je scande haut et fort toute mon admiration pour le dernier artiste qu’il me reste à vénérer dans ce domaine…
Quel sera la chanson qui va suivre, comment va-t-il l’interpréter seront pour ma part les seules questions qui m’habitaient hier, car trouver une réponse à la raison de la staticité du public, il vaut mieux l’oublier..
Il aura revisité 40 ans de carrière, nous a sonné avec un « Art School » énorme, digne d’un show à la BBC de 78, d’un « Shout to the top » très soul, vous en voulez d’autres ? : « Start » et Scrape Away » issus de « Sound Affect » que j’adore… « Widwood », et bien d’autres dont ces deux titres issus de son dernier opus : « Wake up the Nation », le « Fats Car-Slow Traffic » bien Londonnien , une vraie messe pour nous autre aficionados dont j’observais le visage illuminé.. Vinrent également « Strange town », et cette session acoustique magnifique pour entamer le « Brand New Start »
Je revivais à l’instant ce fabuleux concert en écrivant ces lignes, tout en cherchant un ton passionné pouvant retranscrire mon émotion, esperant trouver une formule qui conviendrait au mieux…
De formule il n’en existe qu’une à mes yeux : Paul Weller est de la race des seigneurs, de ceux qui ne vous décevront jamais.
Au regard de la longévité de sa carrière, des virages qui se sont opérés, des risques encourus jusqu’à l’avènement mérité enfin, je ne voie aucun parallèle existant , Paul Weller est une légende vivante, je l’ai vu de mes yeux pour la troisième fois, elle existe vraiment…
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I did not imagine it any other way this energetic and generous, fair/just and a bright concert.. I was... Afficher davantage thinking of that yesterday, In fact Paul Weller is someone with whom I grew up with, he's accompanied me for more than twenty years, a living testament even today, and to see him again like that, unchanged, Still as passionate and determined was truly enchanting. Paul arrived on stage in a black polo shirt, well pressed grey cotton trousers, slightly tanned, happy to find a public whom he had not seen (abandoned, *not nice*)for ten years.“It’s been a long time hasn’t it” were his first words. Something indiscernible says to me that he feels remorseful, somewhat guilty. If there is something that characterizes it, It is the honesty and integrity in his expression, blended by a generosity which allows us onlookers/observers to see through this icon, making him more approachable and accessible to all of us. All in all it is only me representing what each of us perceived, at different levels And even if it was possible that certain Members of the audience saw him for the first time yesterday, it would be impossible for them not to have been moved, we do not come to watch and participant in one of his concerts by mistake or accidentally we are here as fans from even the earliest days of the Jam, or from the 80’s generation of the jazzy beat of the Style Council, or any of the other numerous records that bear his name, or more simply on the educated advice of a friend who has convinced you to attend one of the most authentic concerts possible, In any case, we are dealing with a sensitive and humanistic music, and in spite of what certain people say, there are no compromises in my eyes. You have probably now understood, my adulation deprives me of any objectivity, I have looked long and hard at my admiration for the last artist whom I have to venerate in this domain. Which will be the following song, how is he going to interpret it , for me these were the only questions going through my mind yesterday, because to find an answer to the reason of the electricity in the crowd, probably better to forget it..
It will have re-visited 40 years of his career, rang us with huge anthems "Art School" enormous, worthy of a show on the BBC in 78, the one and only " Shout to the top " very soul, you want others?: "Starting" and Scrape Away » and « Sound Affect » that I love « Widwood », and many others among which these two existent titles of his last opus: « Wake up the Nation », " Fats Car-Slow dance Traffic » really London, a true mass for all us aficionados. Also comes « Strange town », and his splendid acoustical session to start " Brand New Start » i relived this wonderful concert in an instant by writing these lines, while searching for a passionate tone that could transcribe my emotions, hoping to find an expression which would suit at best …
The formula, there is only one in my eyes: Paul Weller is from the “race of the lords”, those which will never disappoint you.
In comparison with the longevity of his career, turns which took place, of the risks incurred until the finally deserved advent, I do not see any existing parallel, Paul Weller is a living legend, I saw it with my own eyes for the third time yesterday, it really exists…
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