Hum, la musique de demain se profile surtout vers un lien du type du producteur au consommateur sans intermédiaires. Les seules intermédiaires sont les plus gros qui peuvent avoir l'autorisation (et les moyens) de vendre des mp3. Bye bye les disquaires. Il ne restera que les miettes de l'affiliation et on sera probablement assez bête pour se jeter dessus et s'en contenter. Surtout que Google+ vient de lancer son service de musique en ligne. Comment une seule compagnie peut-elle faire la pluie et le beau temps sur la gestion du contenu ? C'est fou quand on y pense.

J'ai envie de dire, faites comme les 200 labels indépendants qui viennent de quitter Spotify. Choisissez la voix de l'indépendance. Et méfiez vous de itunes et autres Believe. (du genre les contrats de 5 pages en anglais, pas d'interlocuteur joignable en cas de question et ton morceau compilé sans que tu touches des droits, cf le contrat en anglais...). Don't believe the hype.


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Rédigé par Ana Maria Esteves de Mesquita le Mercredi 23 Novembre 2011 à 16:59 | Commentaires (0)