Même Aline de Radio Nova n’a pas pu résister au charme sulfureux de Van Hunt lorsqu’elle l’a reçu sur les ondes de la radio en juin dernier. Normal, Van Hunt est un apollon musclé à souhait, aux doigts de fée ( qu’il a fait glisser sur sa guitare ) et à la voix de velours. Pas étonnant qu’il affole autant les femmes et irrite par la même occasion tous les autres coqs de la basse court. Mais Van Hunt est surtout un artiste complet, écrivant la totalité de ses textes et composant ses propres mélodies. Inévitablement, son talent et son groove le positionnent parmi les jeunes premiers de la scène Nu Soul, légitimes prétendants à la succession des Marvin Gaye, Curtis Mayfield et surtout Stevie Wonder auquel les critiques s’empressent de comparer le nouveau venu.
Pour ce premier opus, après une collaboration remarquée sur l’album de Rashaan Patterson « Love In Stéréo » en 1999, on a affaire à un panaché de la vie de l’artiste, de ses influences Funky – Soul des 70’s ( « Anything » ), aux espoirs et désillusions que lui a procuré l’amour des femmes ( « Seconds Of Peasure », « Hold My Hand », « Precious » ), en passant par l’admiration qu’il avait étant môme pour son père, peintre en bâtiment, fumeur de weed invétéré, coureur de jupons, proxo à ses heures et squatteur occasionnel d’asiles de fous. Le même qui lui a donné l’envie de faire de la musique à coups de disques de blues, de Jazz et de Funk.
Jouant allègrement de la plupart des instruments, à l’image des plus grands du genre, Van Hunt nous révèle sensualité, sensibilité, justesse et intelligence dans la construction de l’album, notamment au niveau de la succession des morceaux tantôt feutrés, tantôt entraînants comme « Dust » et « Anything » qui sont au passage de véritables bijoux. Une fois les mélodies posées, il ne reste plus au chanteur qu’à glisser sa voix suave tel un chuchotement derrière l’oreille, asseyant ainsi sa réputation de « Loving Bad Boy ».
Cet album peut donc vite devenir pour son acquéreur le redoutable instrument de tous les plaisirs. Vous savez désormais ce qu’il vous reste à faire …
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Pour ce premier opus, après une collaboration remarquée sur l’album de Rashaan Patterson « Love In Stéréo » en 1999, on a affaire à un panaché de la vie de l’artiste, de ses influences Funky – Soul des 70’s ( « Anything » ), aux espoirs et désillusions que lui a procuré l’amour des femmes ( « Seconds Of Peasure », « Hold My Hand », « Precious » ), en passant par l’admiration qu’il avait étant môme pour son père, peintre en bâtiment, fumeur de weed invétéré, coureur de jupons, proxo à ses heures et squatteur occasionnel d’asiles de fous. Le même qui lui a donné l’envie de faire de la musique à coups de disques de blues, de Jazz et de Funk.
Jouant allègrement de la plupart des instruments, à l’image des plus grands du genre, Van Hunt nous révèle sensualité, sensibilité, justesse et intelligence dans la construction de l’album, notamment au niveau de la succession des morceaux tantôt feutrés, tantôt entraînants comme « Dust » et « Anything » qui sont au passage de véritables bijoux. Une fois les mélodies posées, il ne reste plus au chanteur qu’à glisser sa voix suave tel un chuchotement derrière l’oreille, asseyant ainsi sa réputation de « Loving Bad Boy ».
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